Ras le bol d’entendre sans cesse des arguments fallacieux !
A Marseille, ce samedi 4 juin, les bénévoles de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » ont installé une fois de plus leur stand de prévention sur les drogues les plus courantes Place Bougainville, plaque tournante des trafics vers les quartiers nord, et distribué des centaines de brochures d’information.
Mis à part le mauvais jeu de mot, qui pourrait être assez naïf pour croire que des criminels endurcis qui gagnent des sommes fabuleuses chaque jour vont devenir subitement des gentils travailleurs qui se lèvent le matin à 7h pour aller gagner le SMIC ?
Les Pays-Bas font machine arrière toute ! Leur pays est devenu le « supermarché » de la drogue, plaque tournante du crime, avec la réputation de “narco-Etat” dans les instances européennes de Bruxelles.
En effet, dans le pays « du joint libre » les grandes organisations criminelles ont pignon sur rue comme les triades chinoises, la mafia turque, les cartels colombiens, les gangs africains, israéliens, vietnamiens, marocains… vous aurez compris que nous avons une véritable bombe entre les mains : trafic de drogue, trafic d’armes, élections truquées, argent blanchi, manipulations financières, complicités en haut lieu, opérations de désinformation…
Ainsi, la plus grande partie du marché du cannabis néerlandais (Nederwiet, ou Skunk), est contrôlée par le crime organisé : le « narco-paradis » a bientôt tourné à l’enfer, avec explosion des homicides entre gangs, braquages, jets de grenades et tirs d’armes de guerre visant les rivaux, etc…
Fermeture des frontières, fin programmée des Coffe-shops, décision brutale ? Non. La fin du laxisme local en matière de drogue était prévisible : lors d’une discrète conférence au ministère français de l’Intérieur, des experts officiels néerlandais et belges avaient révélé l’ampleur du désastre.
Selon eux, « l’investissement du crime organisé dans la culture indoor du cannabis » était massif aux Pays-Bas. « La production de cannabis contrôlée par le crime organisé se situant entre 300 et 800 tonnes », pour « un chiffre d’affaires [annuel] de un à trois milliard d’euros ».
Le cannabis était naïvement laissé en vente libre par « petites doses » pour éviter les guerres de gangs et le crime organisé ? Résultat : les mafias, les homicides, le travail forcé, la drogue par tonnes et des milliards de narco-euros corrompant les campagnes de la région.
Dans les années 60, le philosophe L.Ron Hubbard déclarait « l’élément le plus destructeur de notre culture actuelle est la drogue » et les faits sont là pour attester de cette affirmation.
Pour Robert Galibert, président de l’association Non à la drogue, oui à la vie, « il ne faut pas oublier ce truisme : le meilleur moyen de ne pas tomber dans le piège de la drogue, c’est de ne jamais commencer »
C’est pourquoi la campagne d’information de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » s’appuie sur le « kit de prévention » qui comprend 13 brochures factuelles sur les drogues les plus courantes (Cannabis, Héroïne, Cocaïne, Crack, Ecstasy, LSD, Antidouleurs, Crystal Meth, Ritaline, alcool, drogues psychotropes prescrites ou drogues par inhalation), ainsi qu’une série de 16 spots vidéo de 30 secondes intitulés « ils ont dit, ils ont menti » et enfin plus de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.
Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57 info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr