Une campagne criminelle utilise actuellement les désirs récurrents des dealers et des toxicomanes, incapables de réfléchir, afin de pousser à la légalisation du cannabis. Enjeu commercial ou politique ? Il est vrai que les élections sont proches et que le nombre sans cesse croissant des « cannabinomanes » mettrait du beurre dans les épinards des prétendus « écologistes ».
Totalement opposés à l’utilisation et la destruction de la jeunesse à des fins propagandistes, les bénévoles de l’association « Non à la drogue, Oui à la Vie » ont apporté la Vérité sur la drogue grâce à leurs livrets d’information et leur présence sur le terrain ce samedi 11 juin 2011 au cours Julien à Marseille, comme à Lyon, Place des Etats Unis, contrant ainsi les fausses données qui circulent via internet ou autre media sur l’innocuité du cannabis et le soi-disant « échec de la prévention » en France.
Pour le président de l’association, M. Robert Galibert,
« Ces manœuvres sont indignes de représentants de la loi, garants de la santé publique et sociale. Accepter que l’on vende des produits toxiques à des enfants est criminel. Il est inconcevable que les « souteneurs » de la légalisation ne prennent pas la peine de consulter les études scientifiques sur le sujet. Les travaux ne manquent pas qui décrivent le cannabis comme substance dangereuse. »
Alors, ignorance coupable ou volonté délibérée de détruire ?
La secrétaire d’état à la santé, Nora Berra, en est consciente qui s’engage contre la dépénalisation du cannabis qu’elle qualifie « d’obsession irresponsable et dangereuse » :
« La dépénalisation/légalisation irresponsable prônée par une certaine classe politique doit être en définitive définitivement disqualifiée, car elle ne repose que sur une pétition de principe hasardeuse et dangereuse pour la santé publique. Elle poursuit à l’évidence d’autres buts plus égoïstes et superficiels que ceux de la protection des français,je condamne avec la plus grande fermeté ses promoteurs et je ne désire, pour ma part, en aucune manière engager notre jeunesse notamment, dans un processus de soins curatifs à grande échelle pour prix d’une soi-disant liberté qui serait en réalité une condamnation issue d’une banalisation criminelle. » souligne t-elle.
Dans les années 60, le philosophe Ron Hubbard écrivait « Quand les enfants ont perdu de leur importance dans une société, cette société a perdu son avenir ».
Pour Robert Galibert, « le meilleur moyen de ne pas tomber dans le piège de la drogue, c’est de ne jamais commencer »
C’est pourquoi la campagne de prévention de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » s’appuie sur l’information. La connaissance permet d’éviter le piège c’est pourquoi des « kit de prévention » sont distribués gratuitement, qui comprennent 13 brochures factuelles sur les drogues les plus courantes (Cannabis, Héroïne,Cocaïne, Crack, Ecstasy, LSD, Antidouleurs, Crystal Meth, Ritaline, alcool, drogues psychotropes prescrites ou drogues par inhalation), ainsi qu’une série de 16 spots vidéo de 30 secondes intitulés « ils ont dit, ils ont menti » et enfin plus de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.
Un manuel de l’enseignant est également mis à la disposition des éducateurs afin de dispenser la connaissance dans les milieux scolaires.
Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57 [email protected] ou http://cestquoiladrogue.fr