Je garde un souvenir ému de Ségolène. Royalement désastreuse dans son débat télévisé face à Cosy-Cosy avant le second tour. Des one men shows qu'on aimerait oublier mais qui vous reviennent à la tronche lorsque les échéances se précisent.
En l'occurrence, à défaut de faire sans, les voilà revenus, nos zéros franchouillards.
J'ai nommé, à droite, Nico, l'immigré qui ne se relèvera de sa situation d'étranger que quand il aura foutu tous les autres dehors et Ségo, dans son bateau, tel Noé sauvant le monde mais sans la bible pour lui apporter crédit.
Hissého. Santiaââno.
On est mal. Français, je vous le dis. On est mal.
Ségo quand elle cause dans le poste, c'est un peu l'errance avec ce qu'il faut de fausses notes pour que même les abrutis se trompent de portée.
Sarko, c'est tant de mauvaise foi et tant de dédain pour la France que même mon Chichi en fait des cauchemars la nuit. Et Bernadette aussi.
Et l'on se demandera, avec tout plein de bonne foi, pourquoi les Français vont voter Marine au premier tour. Peut-être même au second. Faudra pas leur jeter la pierre. Ni la première, ni celle qui achèvera notre jolie République.
Enfin, moi, vous savez ce que j'en pense.
Fanny Lesguillons