Certaines scènes insoutenables, grand-guignolesques, sanguinolentes, d'un hyper réalisme parfois malsain. Sans compter que les fringues marronnasses des seventie’s, c'est raide. N'y vas pas! Ce qu'en dit Première: " Balada Triste de Trompeta. L'histoire ? En Espagne, pendant la guerre civile, un enfant est séparé de son père, clown de profession qui est emprisonné puis tué. Dans les années 70, parvenu à l’âge adulte, le fils devient clown triste dans un cirque itinérant et tombe amoureux de la femme de son chef. De La Iglesia a mis son style foisonnant au service d’un cours d’histoire étalé sur plus de trente ans, évoquant des évènements réels ou fantasmés à travers des images d’archives, des décrochages surréalistes, des ellipses temporelles et des références allant des monstres d’Universal à Tod Browning. Le résultat est sidérant, drôle, flippant... en un mot excessif. Comme le prouve cette bande-annonce."
Certaines scènes insoutenables, grand-guignolesques, sanguinolentes, d'un hyper réalisme parfois malsain. Sans compter que les fringues marronnasses des seventie’s, c'est raide. N'y vas pas! Ce qu'en dit Première: " Balada Triste de Trompeta. L'histoire ? En Espagne, pendant la guerre civile, un enfant est séparé de son père, clown de profession qui est emprisonné puis tué. Dans les années 70, parvenu à l’âge adulte, le fils devient clown triste dans un cirque itinérant et tombe amoureux de la femme de son chef. De La Iglesia a mis son style foisonnant au service d’un cours d’histoire étalé sur plus de trente ans, évoquant des évènements réels ou fantasmés à travers des images d’archives, des décrochages surréalistes, des ellipses temporelles et des références allant des monstres d’Universal à Tod Browning. Le résultat est sidérant, drôle, flippant... en un mot excessif. Comme le prouve cette bande-annonce."