Parmi la profusion d'oeuvres à voir au Moulin (jusqu'au 2 octobre), à côté de figures et d'oeuvres connues, j'ai apprécié le travail de Leandro Erlich sur l'illusion, l'ambigu, la confusion. A partir d'images familières, il crée des trompe-l'oeil, des installations où la représentation n'est que mensonge, où l'apparence n'est que piège, où la perception n'est plus fiable. Iriez-vous vous changer dans ces Changing Rooms, où chaque mur est un miroir, ou peut-être un passage vers un autre monde ?
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