Alors que nous avons eu l’impression de sortir d’une période relativement bien arrosée, la véritable douche est venu du ministre de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, qui nous annonce que nous venons de passer l’hiver le plus sec depuis quatre ans, faute d’une pluviométrie suffisamment efficace pour remplir les nappes phréatiques.
En fait, la situation du niveau des nappes phréatiques est contrastée d’une région à l’autre, celles du Nord et de l’est de la France ont bénéficié d’une saison exceptionnellement humide tandis que d’autres, ailleurs, continuent à baisser, particulièrement celles de la côte méditerranéenne.
En fait, il appartient dorénavant aux agriculteurs d’anticiper le risque de pénurie d’eau en orientant leurs cultures vers les productions les moins gourmandes en eau, pour éviter les conséquences d’un arrêté sécheresse en plein été.
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