L'actu: le petit clin d'oeil du jour...

En piste.

(Plus exactement sur la rampe de lancement!)

En piste. Martine Aubry s'est lancée. Mardi, c’est sur ses terres lilloises que la première secrétaire du Parti socialiste a finalement annoncé son «désir d'agir», entrant ainsi de plain pied dans les primaires socialistes. Dans le lieu culturel emblématique de la Gare Saint-Sauveur, plein à craquer (malgré un soleil de plomb), la maire de la ville à fait une «déclaration à l'adresse des Français» d’une dizaine de minutes. Si l'on ne recense pour l’instant pas de critique de la part de ses concurrents socialistes, à droite, sa candidature suscite les premières contre-attaques." title="L'actu: le petit clin d'oeil du jour..." />En piste. Martine Aubry s'est lancée. Mardi, c’est sur ses terres lilloises que la première secrétaire du Parti socialiste a finalement annoncé son «désir d'agir», entrant ainsi de plain pied dans les primaires socialistes. Dans le lieu culturel emblématique de la Gare Saint-Sauveur, plein à craquer (malgré un soleil de plomb), la maire de la ville à fait une «déclaration à l'adresse des Français» d’une dizaine de minutes. Si l'on ne recense pour l’instant pas de critique de la part de ses concurrents socialistes, à droite, sa candidature suscite les premières contre-attaques." border="0" /> Martine Aubry s'est lancée. Mardi, c’est sur ses terres lilloises que la première secrétaire du Parti socialiste a finalement annoncé son «désir d'agir», entrant ainsi de plain pied dans les primaires socialistes. Dans le lieu culturel emblématique de la Gare Saint-Sauveur, plein à craquer (malgré un soleil de plomb), la maire de la ville à fait une «déclaration à l'adresse des Français» d’une dizaine de minutes. Si l'on ne recense pour l’instant pas de critique de la part de ses concurrents socialistes, à droite, sa candidature suscite les premières contre-attaques. (Philippe Huguen/AFP)

Épreuve de force.

(Attends Martine les primaires n'ont pas encore commencé....)

Épreuve de force. Les dix jours de «manoeuvres défensives» lancées par les Gardiens de la révolution en Iran ont bel et bien débutés. Mardi, à Téhéran, 14 missiles balistiques ont été lancés par les forces d’élite du régime, un «Ghadr» de moyenne portée (1800 à 2000 km) et 13 autres modèles de courte portée, «Zelzal» (400 km), Shahab 1 et Shahab 2 (300 à 500 km). Ces exercices de «défense» sont destinés à prouver la force du pays et à dissuader Israël et les Etats-Unis de s'en prendre militairement à la République islamique. " title="L'actu: le petit clin d'oeil du jour..." />Épreuve de force. Les dix jours de «manoeuvres défensives» lancées par les Gardiens de la révolution en Iran ont bel et bien débutés. Mardi, à Téhéran, 14 missiles balistiques ont été lancés par les forces d’élite du régime, un «Ghadr» de moyenne portée (1800 à 2000 km) et 13 autres modèles de courte portée, «Zelzal» (400 km), Shahab 1 et Shahab 2 (300 à 500 km). Ces exercices de «défense» sont destinés à prouver la force du pays et à dissuader Israël et les Etats-Unis de s'en prendre militairement à la République islamique. " border="0" /> . Les dix jours de «manoeuvres défensives» lancées par les Gardiens de la révolution en Iran ont bel et bien débutés. Mardi, à Téhéran, 14 missiles balistiques ont été lancés par les forces d’élite du régime, un «Ghadr» de moyenne portée (1800 à 2000 km) et 13 autres modèles de courte portée, «Zelzal» (400 km), Shahab 1 et Shahab 2 (300 à 500 km). Ces exercices de «défense» sont destinés à prouver la force du pays et à dissuader Israël et les Etats-Unis de s'en prendre militairement à la République islamique. (Rouholla Vahdati/AFP) Temple des tigres. (Le moine et la bète, incroyablement magique...)

<b></div>Temple des tigres</b>. Incroyable mais vrai !. Alors qu’habituellement, dans les temples de Thaïlande, on sauve les chiens et les chats abandonnés, ici à Kanchanaburi au sud-ouest du pays, ce sont les tigres qui ont été recueillis par des moines pour échapper aux braconniers. Depuis 1999, ce lieu, qui compte plus de cinquante grands félins, est devenu un passage touristique incontournable pour les voyageurs de la région.

Temple des tigres. Incroyable mais vrai !. Alors qu’habituellement, dans les temples de Thaïlande, on sauve les chiens et les chats abandonnés, ici à Kanchanaburi au sud-ouest du pays, ce sont les tigres qui ont été recueillis par des moines pour échapper aux braconniers. Depuis 1999, ce lieu, qui compte plus de cinquante grands félins, est devenu un passage touristique incontournable pour les voyageurs de la région. " title="L'actu: le petit clin d'oeil du jour..." />Temple des tigres. Incroyable mais vrai !. Alors qu’habituellement, dans les temples de Thaïlande, on sauve les chiens et les chats abandonnés, ici à Kanchanaburi au sud-ouest du pays, ce sont les tigres qui ont été recueillis par des moines pour échapper aux braconniers. Depuis 1999, ce lieu, qui compte plus de cinquante grands félins, est devenu un passage touristique incontournable pour les voyageurs de la région. " border="0" /> Incroyable mais vrai !. Alors qu’habituellement, dans les temples de Thaïlande, on sauve les chiens et les chats abandonnés, ici à Kanchanaburi au sud-ouest du pays, ce sont les tigres qui ont été recueillis par des moines pour échapper aux braconniers. Depuis 1999, ce lieu, qui compte plus de cinquante grands félins, est devenu un passage touristique incontournable pour les voyageurs de la région. (Hendro Hioe/ Caters News/SIPA) Compte à rebours. ( Christine, tu as du pain sur la planche!)

<b></div>Compte à rebours</b>. Ces 48 heures seront probablement décisives pour sauver la Grèce de la faillite. Alors que le premier ministre grec, Georges Papandréou, exhorte les députés à voter le projet de budget d'austérité soumis à leur examen, afin que le pays, au bord du gouffre, «reste debout», l’adoption de ces mesures reste vivement contestée dans la rue, comme ici à Athènes où des échauffourées ont éclaté entre manifestants et force de l’ordre. Si elle est votée, la nouvelle cure d'économie consistera en coupes claires dans les dépenses de l'Etat, alourdissant la fiscalité et les privatisations, pour un montant global de 28 milliards d'euros.

Compte à rebours. Ces 48 heures seront probablement décisives pour sauver la Grèce de la faillite. Alors que le premier ministre grec, Georges Papandréou, exhorte les députés à voter le projet de budget d'austérité soumis à leur examen, afin que le pays, au bord du gouffre, «reste debout», l’adoption de ces mesures reste vivement contestée dans la rue, comme ici à Athènes où des échauffourées ont éclaté entre manifestants et force de l’ordre. Si elle est votée, la nouvelle cure d'économie consistera en coupes claires dans les dépenses de l'Etat, alourdissant la fiscalité et les privatisations, pour un montant global de 28 milliards d'euros. " title="L'actu: le petit clin d'oeil du jour..." />Compte à rebours. Ces 48 heures seront probablement décisives pour sauver la Grèce de la faillite. Alors que le premier ministre grec, Georges Papandréou, exhorte les députés à voter le projet de budget d'austérité soumis à leur examen, afin que le pays, au bord du gouffre, «reste debout», l’adoption de ces mesures reste vivement contestée dans la rue, comme ici à Athènes où des échauffourées ont éclaté entre manifestants et force de l’ordre. Si elle est votée, la nouvelle cure d'économie consistera en coupes claires dans les dépenses de l'Etat, alourdissant la fiscalité et les privatisations, pour un montant global de 28 milliards d'euros. " border="0" /> Ces 48 heures seront probablement décisives pour sauver la Grèce de la faillite. Alors que le premier ministre grec, Georges Papandréou, exhorte les députés à voter le projet de budget d'austérité soumis à leur examen, afin que le pays, au bord du gouffre, «reste debout», l’adoption de ces mesures reste vivement contestée dans la rue, comme ici à Athènes où des échauffourées ont éclaté entre manifestants et force de l’ordre. Si elle est votée, la nouvelle cure d'économie consistera en coupes claires dans les dépenses de l'Etat, alourdissant la fiscalité et les privatisations, pour un montant global de 28 milliards d'euros. (Yannis Behrakis/REUTERS)