Coeur n'a de corps qu'à l'Esprit libéré
Qu'Enfer je vive, si je n'endure pas l'Amour,
Qui troublant dans ses moindres détours change paillasse en tapis de velours.
Que cavale l'Esprit sur les steppes du désir,
s'il le faut Corps aura bien Coeur à se languir.
Aussi vrai que l'Oiseau se perche sur un fil sans tanguer,
Oeil n'auras de cesse d'espionner Vérité,
Ainsi que ses, et de manière bien aisé, quelques amours pour Honnêteté!
Car quand Nuit tombera au delà de tout ce qui fût,
Brisant carquant de souffrance et responsabilité superflux,
Alors Nul au carquois de carreaux garderas en surplus.
Cueille à l'accroche le fruit de l'ennuie,
Car nul à son approche pour la vie ne sourit...
Désirs sublimés compactés en select'
Ignorant par Volonté de Modernité la culture de l'intellect'
Ô grande défaillance de Coeur,
Ton silence absurde aujourd'hui en moi créer Peur..