Film français, autrichien
Note globale: 10,5/20
Réalisateur: Joann Sfar, Antoine Delesvaux
Acteurs principaux: François Morel, Maurice Bénichou, Hafsia Herzi
Durée: 1h40
Synopsis (Allociné) :Alger, années 1920. Le rabbin Sfar vit avec sa fille Zlabya, un perroquet bruyant et un chat espiègle qui dévore le perroquet et se met à parler pour ne dire que des mensonges. Le rabbin veut l'éloigner. Mais le chat, fou amoureux de sa petite maîtresse, est prêt à tout pour rester auprès d'elle... même à faire sa bar mitsva ! Le rabbin devra enseigner à son chat les rudiments de loi mosaïque ! Une lettre apprend au rabbin que pour garder son poste, il doit se soumettre à une dictée en français. Pour l'aider, son chat commet le sacrilège d'invoquer l'Eternel. Le rabbin réussit mais le chat ne parle plus. On le traite de nouveau comme un animal ordinaire. Son seul ami sera bientôt un peintre russe en quête d'une Jérusalem imaginaire où vivraient des Juifs noirs. Il parvient à convaincre le rabbin, un ancien soldat du Tsar, un chanteur et le chat de faire avec lui la route coloniale...
Ce que j'ai pensé du film: les méandres imprévisibles du scénario sont assez étranges et laissent un goût de perplexité dans les yeux. Le début est sympa, simple, décrypte avec amusement le caractère d'un chat, et puis ça tourne à la lenteur. Entre fausses péripéties, et propos religieux, je n'ai pas vraiment perçu la sensibilité du film, mais plutôt l'ennui. Les personnages sont malgré tout attachants, ce qui nous fait tenir jusqu'au bout.
Réalisation: OOCOO
Scénario: OOOOO
Rythme: OOCOO
Acteurs: OOOOO
Humour: OCOOO
Intéressant? Moyennement
Divertissant? Moyennement
3 bonnes raisons pour aller voir ce film au cinéma:
- la relation entre le chat et sa maîtresse
- une apparition de Tintin...
- un film qui a son identité
3 bonnes raisons pour quitter la salle avant le début du film:
- des dessins pas formidables
- un faux rythme
- beaucoup de thèmes abordés, c'est brouillon, on peut être dépassé