—Petite impression d’ensemble: davantage de représentations de la forme humaine que d’abstractions. Souvent déformé, métamorphosé, déshumanisé…Ou sublimé, idéalisé, rêvé…mais décidément l’Homme est encore la bouée de sauvetage de l’artiste (et du spectateur!)
—-Quelques moments de bonheur devant les pièces en fil de fer araignée de Daniel Guilloux, devant les nids de la céramiste Ine Schoots, devant les sculptures de papier de soie froissé d’Edith Nicot, devant les créatures fantasmagoriques en terre cirée de Frantz, devant les personnages en métal plissé de Catherine Maucourt, devant les formes naturelles (admirablement exploitées) en bois fruitier de Jacques Roy, devant les drôles de figures d’inspiration arabe de El-Saleh…Et même les extraordinaires rouages en bois de John Rackley. Et j’en oublie forcément, parmi les œuvres qui m’ont touchée.
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