On avait annoncé les M21 helvètes comme des géants en devenir.
Au point même de retenir l’attention pour La Finale … c’est tout dire.
Franchement, on est venu, on a vu, on a perdu.
Perdu tout espoir d’imaginer l’intérieur de ce qui tient de cervelle aux vedettes rouges.
Un jeu pitoyable, des pans entiers de l’équipe qui dorment ou errent comme des âmes en peine, des individualités qui se prennent pour Pelé, des capacités de piocher sur place en lieu et place d’organiser le jeu ressemblant à celles des tortues en rut, un entraîneur l’air hagard, des mines aux fronts bas, ceci expliquant sans doute cela.
Une misère pure et simple qui ne valait vraiment ni le déplacement ni l’attention sur le petit écran.
Ce sport forme décidément des anti-prix Nobel à longueur d’années, en Helvétie en tous cas.