Mai 1506. Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople. A Rome, il a délaissé le tombeau qu'il dessine pour Jules II, le pape guerrier et mauvais payeur. Il répond à l'invitation du sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or, projet retiré à Leonardo da Vinci. L'auteur nous fait découvrir un Michel-Ange complètement absorbé par son travail, un perfectionniste. A côté de ça il a peur de l'amour, pour lui l'amour c'est la rencontre avec le divin. L'orient byzantin est envoûtant et l'auteur ici sait parfaitement nous le conter. Ce roman a reçu le Prix Gongourt des Lycéens 2010.
Mai 1506. Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople. A Rome, il a délaissé le tombeau qu'il dessine pour Jules II, le pape guerrier et mauvais payeur. Il répond à l'invitation du sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or, projet retiré à Leonardo da Vinci. L'auteur nous fait découvrir un Michel-Ange complètement absorbé par son travail, un perfectionniste. A côté de ça il a peur de l'amour, pour lui l'amour c'est la rencontre avec le divin. L'orient byzantin est envoûtant et l'auteur ici sait parfaitement nous le conter. Ce roman a reçu le Prix Gongourt des Lycéens 2010.