L’inqualifiable comportement des militaires à Azazga le 23 juin 2011 est impardonnable. Un mort et des blessés kabyles, mise à sac de domiciles, vols…
Devant ces crimes, le Gouvernement Provisoire kabyle qui les condamne de toutes ses forces, exige le retrait de l’armée algérienne de la Kabylie. Ce territoire doit disposer de son propre corps de sécurité. C’est la seule manière de liquider le terrorisme qui sert d’alibi à la présence de l’armée et de mettre un terme à l’occupation militaire de la Kabylie.
Les soldats du régime algérien, comme ses gendarmes en 2001, se comportent en ennemis des Kabyles.
L’Anavad appelle à la solidarité et à la concertation inter-kabyle pour prendre ensemble les mesures qui répondent à long terme aux problèmes d’insécurité, d’agressions militaires et d’atteinte aux droits de l’homme par le pouvoir algérien en Kabylie.
Le 25/06/2011
Pour l’Anavad,
Makhlouf Idri, Porte-parole