Bref, si l’on en croit le gouvernement allemand, les marchés ont donc été instrumentalisés au bénéfice de l’Allemagne qui a profité de la panique pour imposer un retour à la rigueur, renforcer la gouvernance budgétaire de l’eurozone et ainsi garantir la stabilité à long terme de l’euro. La séquence des mois écoulés n’est pas en contradiction avec cette interprétation qui, si elle est exacte, montre qu’il y a des gens qui ont les nerfs solides en Allemagne. (Vu de Berlin : leçons grecques - Coulisses de Bruxelles, UE)
Magazine Société
Dans la foulée du billet précédent, un vieil article sur la crise grecque :