Elle se réveille sur cette même chaise-longue, dans la peau de Milly, dans une maison qu’elle n’est pas sûre de reconnaître…
La préface de PD James indique que pour écrire ce très court roman l’auteur, Marghanita Laski, s’est isolée dans une maison de famille dans le Somerset - pour se faire peur et pouvoir transmettre ses émotions aux lecteurs de The Victorian Chaise-longue.
En effet, nous sommes ici à mille lieues de Little boy lost (Un petit garçon perdu) et j’avoue avoir été totalement déstabilisée par le début de la deuxième partie de The Victorian Chaise-Longue qui n’est pas sans rappeler Edgar Allan Poe.
Une histoire d’horreur tout à fait surprenante.
La note de L'Ogresse: