Fête de la musique 2011. Un bar : les Disquaires, rue des Taillandiers, dans le 11e arrondissement de Paris. On entre par une porte latérale dans une sorte de cube divisé en plusieurs espaces sur deux niveaux. Dans le premier espace le bar, quelques tables, une terrasse assez petite, vide ce soir-là. De part et d’autre du bar, quelques marches vous font descendre d’un niveau ; à gauche du bar, on peut remonter au même niveau dans une sorte d’arrière-salle, espace où sont installées quelques tables, un miroir au mur y permet aux artistes de la soirée de peaufiner leur maquillage ; à droite du bar, les marches donnent sur une scène assez petite pour que des spectateurs puissent se grouper devant. La scène, côté jardin, donne sur d’autres marches qui rejoignent ce que j’ai désigné comme arrière-salle. Un couloir relie, au niveau inférieur, l’espace scène et les marches qui permettent de rejoindre la gauche du bar ou l’arrière-salle. Un lieu pas très grand, pas très cher, où l’on est bien accueilli.
De ma soirée, je ne vous présente ici qu’un groupe : guitare, basse et quelques instruments plus petits (mélodica, tambourins…) ; ils sont trois, deux chantent, le bassiste (photographe avant le concert) reste un peu en retrait. Et leur musique me plaît. Je n’étais pas venu pour eux mais cette découverte mérite d’être partagée. Ils chantent en français, en anglais, en japonais, des rythmes qui balancent, des paroles bien pesées (« Ma conscience est un aspirateur »...). Leur nom a quelque chose de nostalgique : ex-banza.
En cliquant sur la pochette de leur CD vous atteindrez leur myspace.