Shark Attack 3

genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2002
durée: 1h35

l'histoire: Deux chercheurs découvre une dent de mégalodon au large des côtes mexicaines. Ce tueur préhistorique rôde encore dans les eaux du Pacifique, prêt à engloutir de pauvres baigneurs.

La critique d'Alice In Oliver:

Après deux épisodes franchement nullissimes, la saga Shark Attack continue ! Il faut croire que la franchise semble trouver quelques admirateurs (allez, levez la main !) dans le bac des dvd à deux euros.
Toutefois, en matière de bouserie infâme, Shark Attack 3, réalisé par David Worth en 2002, reste le meilleur de la série !

Tout du moins, c'est le plus rigolo, évidemment, malgré lui ! Le scénario de Shark Attack 3 n'est pas nouveau.
Encore une fois, il s'agit d'une copie avariée des Dents de la Mer, l'action du film se déroulant encore dans une station balnéaire.
La seule différence tient dans la créature de service.

Cette fois-ci, ce n'est pas un grand requin blanc qui sème la terreur, mais un mégalodon, soit un requin préhistorique.
Et ce dernier a la dalle ! Notre monstre en images de synthèse version Playstation (le premier modèle, hein...) apparaît souvent, très souvent...
Et ce, pour notre plus grand bonheur !

Pour le reste, Shark Attack 3 est un gros nanar, le film misant également sur les jolies filles et quelques séquences nichons et érotiques d'une rare vulgarité. Toutefois, David Worth ne nous refuse aucune excentricité.
Dans Shark Attack 3, il n'y pas un requin, mais deux requins ! Le premier se fera massacrer par quelques scientifiques.
Qu'à cela ne tienne, sa mère a décidé de le venger.

Certes, le premier squale était déjà immense et impressionnant. Mais une fois que sa mère pointe le bout de son nez, c'est un véritable monstre de 23 mètres (véridique !)qui fait son apparition. A partir de là, Shark Attack 3 ne recule devant rien. La créature avalera un bateau à lui tout seul, croquera quelques baigneurs en plein saut et dévorera à pleines dents un scooter des mers de passage.
Un vrai bonheur ! Indéniablement, l'une pires chiures en la matière ! Et encore une chose, ne loupez surtout pas le petit extrait ci-dessous.

Note: 0/20
Note nanardeuse: 18/20