Magazine Culture

Killing me softly (with his song)

Publié le 25 juin 2011 par Polyphrene
Strumming my pain with his fingers,Singing my life with his words, Killing me softly with his song, Killing me softly with his song, Telling my whole life with his words, Killing me softly with his song.
I heard he sang a good song,I heard he had a style, And so I came to see him And listen for a while. And there he was this young boy, Stranger to my eyes, []
Killing me softly (with his song)Cette chanson de Charles Fox et Norman Gimbel a été écrite à partir d’un poème rédigé par Lori Lieberman après qu’elle eut écouté Don McLean chanter “Empty Chairs”.
Les chansons peuvent, en effet, avoir ce pouvoir magique d’exprimer nos sentiments – somme toute universels donc banals – de telle façon que nous les revivons avec une très grande acuité. C’est alors que notre cœur s’emballe, que notre esprit s’embrase, et qu’un frisson nous parcourt. Et la chanson devient nôtre, et la mélodie nous pénètre, et notre voix s’élève et porte notre émotion au paroxysme.Que ce soit la joie, la peine, l’amour ou le désespoir, chanter est plus qu’un exutoire. Etrangement, je ressens que chanter donne un sens au désespoir et une vie à l’espoir.
« Killing Me Softly » fut interprétée par Roberta Flack (photo), en 1973, puis reprise par de très nombreux artistes (il existe même une version « live » chantée par Johnny Mathis et Joe Dassin).La très belle version française d’Eddy Marnay, chantée par Gilbert Montagné sous le titre “Elle chantait ma vie en musique” est néanmoins assez éloignée texte original bien qu'en respectant l'esprit. Ma modeste traduction n’est donc pas totalement superflue.
Sa Chanson Me Tue en Douceur
Ses doigts pianotent sur ma douleurEt ses mots chantent ma vieSa chanson me   tue en douceurSa chanson me tue   en douceurEt ses mots racontent ma vieSa chanson me tue   en douceur
J’ai entendu dire qu’il chanteDans un style élégantAlors je suis venue pourL’écouter un instantEt voilà que mes yeux découvrentCe jeune homme étonnant
Ses doigts pianotent sur ma douleurEt ses mots chantent ma vieSa chanson me   tue en douceurSa chanson me tue   en douceurEt ses mots racontent ma vieSa chanson me tue   en douceur
Mes joues s’empourprent de fièvreMe sentant impudiqueComme s’il découvrait mes lettresPour les lire en publicJe prie pour qu’il s’arrête làMais il n’en finit pas
Ses doigts pianotent sur ma douleurEt ses mots chantent ma vieSa chanson me   tue en douceurSa chanson me tue   en douceurEt ses mots racontent ma vieSa chanson me tue   en douceur
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Polyphrene 49 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines