Cosmos cafardeux....
Cosmos cafardeux caresse les trous obscurs.
La rêverie défile, file en correspondance.
Le sort étincelle en la lumière de discordance,
Là haut dans la tour solitaire, entre clair-obscur.
L’aube se porte à l’ennui que le soleil procure…
Des routines paraissent infinies comme malchance…
Des coups de chiffons égarent les cendres en déchéance…
Les mains fragiles se consument dans cette froidure.
Corbeau se penche à la fenêtre et s’en va au vent.
Puis l’Aumônier Obscur revient, le regard perçant.
Croasse. Tourne le dos. S’envole vers l’ailleurs.
Une feuille de parchemin sur une table de leurs,
Un flocon rempli de sang et une plume imprégnée…
De ce vermillon s’écrit l’étrange histoire ensanglantée.
Postscriptum
Poème en vrac...