Créée il y a maintenant 11 ans, VRDCI revendique des résultats rapides. « Nous atteignons la première page naturelle de Google en quatre mois généralement », confie Antoine Mussard, le dirigeant de l’agence de communication, qui ne garantit cependant pas le succès de l’entreprise à tous les coups. « Garantir du référencement naturel serait une arnaque car Google peut changer ses algorithmes du jour au lendemain. »
Son modèle économique consiste, après un forfait initial minime, à ne facturer quotidiennement que la première page naturelle de Google dans les pays ou ce dernier est le leader incontesté ; ce qui n’est pas le cas en Chine (Baidu), en Russie (Yandex), au Japon (Yahoo/Bing) et, ce qui est plus étonnant, aux USA (ou Yahoo/Bing a 30 % de parts de marché).
La prestation consiste à faire du lobbying virtuel pour que Google comprenne que ses clients sont les meilleurs dans leurs activités. VRDCI n’intervient quasiment pas sur les sites web clients et ne travaille sur ce type de contrats que sur des mots clés ultra-concurrentiels.
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