On y apprend qu’il estime impossible de surveiller les prêches des imams à l’intérieur des mosquées … et que le travail du superflic suisse s’arrête donc à la porte de la mosquée, sans décision judiciaire.
C’est manquer singulièrement d’imagination que de tenir de tels propos (et d’imaginer que ces prêches sont toujours importants).
On peut toujours savoir ce qui se passe quelque part. Encore faut-il y avoir quelques accès indirects et bien organisés.
Une nouvelle fois, on doit constater que Fedpol coûte de plus en plus cher pour des résultats de moins en moins visibles et concrets.
Vite une nouvelle affaire de fiches, qu’on se marre.