... c'est le pipeau que tente de nous faire avaler l' Agence d'in-Sécurité nucléaire, avec la complicité d'EDF - Areva et de la sinistre de L'écologie et ministre de la pollution Nathalie KM de l' ump !
Visiblement , l'ASN n'a pas vu le documentaire diffusé sur France2 dans l'émission Envoyé Spécial , franchement, je pense que la façon dont les équipes maquillent les centrales nucléaires pour qu'elles réussissent les tests ne doivent pas émouvoir plus que ça les autorités de la pseudo-sécurité.
En attendant , avec l'allongement de l'exploitation de la bombe nucléaire de Fessenheim , nous entrerons dans la phase active de la catastrophe, la question de l'accident majeur ne sera plus posée car elle sera remplacée par la seule question qui reste :
Quand la centrale nucléaire de Fessenheim sera t-elle la responsable d'un accident nucléaire ?
Car, entre :
- Les risques sous-évalués par EDF, concernant les ruptures de digues.
- Les risques sous-évalués de tremblements de terres.
- Les risques de pénurie d'eau
- Les risques d'une installation obsolète
- Les risques de défaillance d'un système à boute de souffle
Etc.
Celles et ceux qui aujourd'hui dansent sur le volcan nucléaire de Fessenheim , ne sont rien d'autres que des criminels contre l'humanité ...
Allons-nous vraiment les laisser faire ?
RDV le 26 juin 2011 autour de la centrale nucléaire de Fessenheim
Bésitos à toutes et tous.
Eric Bloggeur Mulhousien
PS : "REPRENONS LE POUVOIR" C'est notre seule chance !
La réussite de ce test de résistance, qui s'est appliqué à l'ensemble des centrales nucléaires française depuis la catastrophe nucléaire japonaise, n'écarte pas un scénario de fermeture. En effet, comme affirmé par une source gouvernementale auprès du Figaro, "la cuve du réacteur n°1 de la centrale a été construite sur une dalle de béton, le radier, qui est, de l'aveu d'EDF, la plus mince du parc nucléaire. Et, à Fessenheim, le radier d'environ 1 mètre d'épaisseur contre 3 à 4 mètres à Fukushima, est situé juste au-dessus de la nappe phréatique du Rhin. En cas d'accident grave avec fusion même partielle du cœur radioactif, la dalle de béton pourrait être percée et alors 'le Rhin serait contaminé, jusqu'à Rotterdam'".