JE VOUS AIME
JE VOUS AIME
J'aime la beauté...
J'aime la poésie...
J'aime la peinture...
Je découvre avec respect...
Toute votre beauté...
Jolies dames
Beauté d'âme...
Beauté de femme...
Vous êtes très belles...
il faut savoir le dire...
J'aime la peinture...
J'aime la poésie...
J'aime votre beauté...
De femme...
Et je vous admire...
Pour ne pas avoir
Oser vous le dire...
Pour ne pas vous voir
Malicieuses âmes
Joyeusement en rire
De moi piteusement éberluer
D’en rugir et d’en rougir
Et je vous aime...
Je vous aime...
De toute mon âme...
Sans faire de ramdam...
Je vous aime...
Belles dames...
Le jour où mon âme...
Vous a rencontré mes mies
Vous avez dompté mon âme
Comme un beau diable ...
J’ai lutté mais votre endiable
A vaincu mon angélisme
Et vous m’avez passé l’anneau
Pour couper les racines
Et ouvrir mes rameaux apatrides...
Et enfin m’accrocher d’amour...
A votre toile romantique...
Respirer votre splendeur magnétique
Caresser votre candeur magnifique
Imprégner mon corps
De votre aura magique
A un point tellement épidermique
Que mon âme trop mystique
Est prisonnière cœur à corps...
Je vous aime...
De toute mon âme...
De m’avoir offert l’amour...
L’amour de votre beauté...
L’amour de la poésie...
L’amour de la peinture...
De m’avoir offert la vie...
Me donner envie...
D’être un homme vrai
Au cœur qui bat
Lorsque je vous vois
Et reste béat
Devant vos émois
Désarmé devant vos charmes
Vos craintes ou vos effrois
De vous effleurer
Pour ne pas flétrir
La pointe des flèches
Que vous décochez
A tir d’œillades
Vos magiques aubades
Et en myriades lorgnades
Pour que je vous aime...
Mais j’en suis sûr...
Je vous aime...
Mesdames...
Trouvez vous étrange...
Que je devienne un ange... ?
Ne désirez vous pas
Monter aux cieux... ?
Avec un ange...
Aux yeux tellement bleus...
Que ça sera miraculeux...
D’être avec lui...
L’un dans l’autre réunis
Pour un grand voyage
Eternel et lointain...
De respect et d’amour...
De caresses et d’ivresses
De tendresse et d’allégresse
Du fonds du corps
Du fonds de l’âme
Jusqu’au bout de soi
A mourir d’émoi
Comme on meurt de froid
Pour que l’on s’aime...
Vous et moi..
Georges Adrien PARADIS le 13 novembre 2007 à 14h30