On n’aime pas l’ancien dictateur tunisien.
Mais on n’aime pas plus les procès par contumace expédiés à la manière des tribunaux d’exception et qui ne permettent pas à un accusé de s’expliquer.
Le soi disant juge Touhami Hafi a encore beaucoup à apprendre avant d’être autorisé à prononcer des sentences au nom d’un peuple souverain.
Et le peuple tunisien a droit à autre chose que ce simulacre de justice. On se dirait dans un mauvais épisode de Tintin.
Pas vraiment convaincant, l’exercice du pouvoir avec un semblant de respect des droits de l’homme même dans un pays « libéré ».