Voici les différents "nominés" du Prix Press club humour et politique 2011 (présidé par Jean Miot, ancien président de l'AFP).
Laurent Fabius (lauréat 2011) :
Mitterrand est aujourd'hui adulé, mais il a été l'homme le plus détesté de France. Ce qui laisse pas mal d'espoir pour beaucoup d'entre nous...
Eva Joly (lauréate 2010) :
Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l'ai mis en examen.
Daniel Fidelin :
Vu de la Chine, le port du Havre ne travaille pas.
Jean-Louis Borloo :
Nous sommes tous des immigrés, seule notre date d'arrivée change.
Frédéric Lefebvre :
A la question "Quel est votre livre de chevet ?" il avait répondu "Zadig et Voltaire", une marque de vêtements.
Nathalie Artaud :
Je ne serai peut être pas élue Présidente de la République, mais je ne serai pas la seule.
Guillaume Bachelay (à propos de Ségolène Royal) :
Qu'on commette des erreurs en politique c'est possible ; qu'on les commette toutes, c'est fou !
François Baroin :
Michèle Alliot-Marie conserve toute sa légitimité à Saint-Jean-de-Luz.
François Bayrou :
Rassembler les centristes, c'est comme conduire une brouette pleine de grenouilles : elles sautent dans tous les sens.
André Chassaigne :
Dans sa forme historique, le PC est mort ; mais il a encore de l'avenir.
Gabriel Cohn-Bendit :
Les Verts sont capables du meilleur comme du pire ; mais c'est dans le pire qu'ils sont les meilleurs.
Patrick Devedjian :
Il y avait tellement de gens à mon enterrement que j'ai décidé de ne pas m'y rendre.
Renaud Donnedieu de Vabres :
Passer de ministre à promeneur de son chien suppose un énorme travail sur soi-même.
Cécile Duflot :
Quel est le féminin de candidat aux cantonales ? C'est suppléante.
François Hollande :
Mélenchon, ce qui est terrible, c'est qu'il a été socialiste toute sa vie et que toute sa vie, ça va le suivre.
Brice Hortefeux :
Il n'y a pas de pagaille ; la preuve, le préfet a pu venir en trois minutes.