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Mépris envers la musique.

Publié le 21 juin 2011 par Orlandoderudder

Jamais on n'a méprisé la musique autant quaujourd'hui. La chansonnette est l'exemple de ce mépris, qu'elle soit hypervalorisée comme la pop ou triviale commela "chanson engagée" si bien pensante... La musiquette, généralemetn insuffisante sert à soutenir des paroles très convenables à faux-airs de révolte qui rapporte du pognon.  C'est parfois agréable, mais c'est de l'industrie au même tittre que le haburger, en plus rpétentieux...

Et cette musiquette peut servir de "buit de fond"  car l'angoisse du silence nous a colonisés. C'est la "musique d'ameublemetn d'Erik Satie" quand on n'imaginait pas qu'on puisse mépriser la musique auant qu'aujourdhui. on ne puvait pas penser une musique qu'on n'écouterait pas, même si l'on savait apprécier le chansons idiots t amusantes ainsi que la danse. Et la musique, aujourd'hui, permet de fuir sa propre présence. en servant de faire-valoir, puisqu'elle donne des "messages" personnels de sa bonne conscience au même titre que l'amour des animaux suraffiché: même propos, même auto-valorisation.

Aimer, respecter la musqique c'est l'écouter. Ne rien faire d'autre. C'est retrouver sa présence au monde.c'et incorporer les vibrations,c'est devenir... c'est suivre le chemin d'une pensée comlexe, que ce soit écrit ou improviser, c'est se pomeer dan sla pensée de l'autre, s'ouvrir au monde en restant là. C'est redevenir soi, fortemetn,, sans ambage. Et à notre époque de dissolution des egos (ce qui permet l'indifférence ou la haie), ou un "égo surdimendsionné" est critiqué alors que c'esr un devoir pur aimer enfin, pour donner, pour sourire à la vie, l'écoute vraie de la musqique, qui n'a pas forcément de paroles mais qui tient la sienne est bâtisseuse, fondatrice. Et demande la présence, et non la fuite de soi.

Seulement, les musiques précieuses, raffinées, qui emmènent en voyage comme au fond de soi, "ça fait chier", disent les infrahyposublamdas du coeur et de l'esprit. Qu'elle soit  classique ou moderne. l'esprit de fuite de soi ne parvient pas à s'ouvrir, à laisser la vie nous envahir. Le "ça fait chier" démissionne de lui-même et risque de ne pas s'aimer. donc de mépriser els autres au même titre que la musique. dont il a besoin comme des autres.en bruit de fond. en décoration. En accessoire. Comme un animal de compagnie, c'et à dire de consommation affective. D'exploitation émotive.

... ou de combat, d'étentard, d'emblème! Celui qui n'ame pas ce que j'aime, ce que mon groupem'oblige à aimer, est un moins que rien! Et qui aime le métal doit détester qui aime le rap! Et ça peut aller jusqu'à la vraie violence dans un folklore hideux d ehaine et de baston! C'est alors la musique militaire revisitée. Dressée pour tuer. Celui qui a dit "la musique adoucit les moeurs" doit être condamné à écouter la Marseillaise tooute la journée! Bruit de fond?

Ces amours de régime, ces consommations allégées à 0% de vivance, de personne, d'être permettent de s'indigner, de s'agiter en évacuant toute pensée profonde: les idées, les opinions "vont de soi" et la vie va! Fausse.

Le "ça fait chier" refuse l'amour. Et le méprise. comme il méprise  la musique. Cele qui et musique et rien d'autre et qu'on ne peut pas utiliser en "bruit de fond", qu'on ne peut qu'écouter. Celle qui joue des nuances autant que des notes, piano ou forte et ne peut s'épanouir que dans le silence, autre instrument de sa grandeur: Cette musique demande le silence général et petit y ajouter un silence voulu, soupir consolidant l'absence de bruit dans le lieu d'écoute!

La fête de la musique, comme la fête des mères, la journée du chien ne fait que sacraliser un mépris général, une utilisation-prétexte, une affirmation de conformité du sujet.

Moi, je en fête que l'anniversaire du temps qui passe. Et c'est n'importe quand!


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