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Un filet si mignon dans ses bandelettes de plastique !

Publié le 20 juin 2011 par Zappeuse

Au départ, c’est une expérience culinaire menée conjointement par monkeum et moi-même, animés par notre habituelle gourmandise : et si on grillait le filet mignon, pour voir ? voilàtipa le bout de cochon sur la résistance, en direct (petite précision : à la maison, on fait barbecue électrique, c’est facile à maîtriser, ça pue pas le charbon). Et hop, c’est parti ! Il fallu d’abord choisir un filet mignon top niveau chez le charcutier du marché, puis cueillir deux branches de romarin dans le jardin, aussi longues que le filet mignon, cueillir au même endroit quatre belles branches de thym, trois ou quatre feuilles de laurier ; pour le reste, on plonge dans le placard : poivre du moulin, herbes de Provence, coriandre, sauce soja (pour saler en ajoutant du liquide en même temps, ça permet de mettre moins d’huile), vinaigre balsamique, huile d’olive.
Etape 1 : poser du film alimentaire sur une planche à découper. Y déposer la moitié des ingrédients non liquides ci-dessus. Poser par dessus le filet mignon, rajouter les ingrédients qui restent (attention aux liquides : il faut y aller tout doux pour ne pas en mettre partout), et serrer bien fort le plastoc autour du cochon, ajouter même un second film à l’occasion. Etape 2 : placer le tout au frigo pour cinq ou six heures (ou plus). Au moment de cuire la bête, on sort la chose du frigo et on ouvre :

Un filet si mignon dans ses bandelettes de plastique !
Un filet si mignon dans ses bandelettes de plastique !

Etape 3 : on met directement sur le barbecue, avec les herbes au départ, mais rapidement elles gênent, et on les vire :

Un filet si mignon dans ses bandelettes de plastique !
Un filet si mignon dans ses bandelettes de plastique !

Un filet si mignon dans ses bandelettes de plastique !
Si, comme nous, vous avez méchamment les crocs, n’attendez pas que le filet mignon soit bien cuit. On peut tout à fait finir la cuisson après avoir découpé la viande en tranches épaisses. Au final : la viande a vraiment le goût des herbes qui l’ont caressée pendant longtemps, elle est surtout très moelleuse, très tendre, un plaisir total. Nous l’avons servi avec des courgettes cuites à la poêle dans un peu d’huile d’olive et, là encore, pas mal d’herbes.



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