Samedi, dernière journée complète à Paris. La température joue au fou : Nuageux, averses, plein soleil et ça recommence. Nous petit-déjeunons au coin de la rue. Le Reglait, c’est notre boulangerie/Pâtisserie ou le café est délicieux et le personnel chaleureux. Aujourd’hui, direction les Arènes de Lutèce. Il faut être attentif car l’entrée est située entre deux immeubles. Ces vestiges datent de l’époque Gallo-Romaine. Cet amphithéâtre fut construit au premier siècle AV-J.C. L’ironie de la chose, c’est quand pénétrant dans l’arène vous voyez les estrades et les murs, mais enlevant un tant soit peu les yeux vous vous apercevez que vous êtes entouré d’immeubles à logements.En direction du Jardin du Luxembourg, notre deuxième destination, nous décidons par curiosité de tourner à gauche au lieu d’à droite. Nous tombons sur une petite place avec sa fontaine et ses petits bistros tout autour. En plein cœur de Paris il nous semblait être transporté dans un petit village de province. Il est encore trop tôt pour la petite pose café ou petit rosé. Continuons donc notre promenade vers le boulevard Soufflot. Celui-ci débute au Panthéon et descend jusqu’au Jardin du Luxembourg avec au loin et en pleine centre la Tour Eiffel. Les architectes et les urbanistes du temps était de vrais visionnaires. Comme c’est bientôt l’heure du déjeuner, nous décidons de goûter au McDo de Paris. Situé directement en face du Jardin ou nous allons manger sous les arbres, à proximité de cette flore luxuriante. L’endroit n’est pas seulement beau, mais il est aussi silencieux et reposant. En empruntant l’allée centrale accompagné par un orchestre de chambre quelque part sous les arbres, nous arrivons près d’un bassin entouré de centaine de chaises et de bancs, puis au fond, un splendide château ou aujourd’hui, siège le Sénat. En arrivant à la sortie du Jardin, le ciel a voulu nous montrer à quel point il était triste de notre départ et il c’est mis à pleuvoir «comme vache qui pisse». Bien équipé de capuchons et de parapluie nous longeons les immeubles et avançons tout de même. Notre but en ce milieu d ‘après-midi était de prendre notre pose café «Aux deux Magots» sur la place du Québec à Saint-Germain des Près. Sachant qu’il fallait que je descende vers la Seine et le boulevard Saint-Germain. Je n’avais par contre aucune idée à quelle distance nous étions et si nous avions dépassé le croisement. Je me mis à la recherche du Boulevard Saint-Michel qui ne se trouvait pas très loin des deux Magots. La pluie avait diminuée. Sans être inquiet, car je savais ou se trouvait la Seine. J’étais déçu de ne savoir exactement ou nous étions, lorsque ma femme me dit : Regard la bas, les auvents verts. Ça ne serait pas les Deux Magots? La pluie avait cessait, la terrasse était rouverte et le café délicieux.En revenant, nous avons passé par de petites rues de Saint-Germain des Près. Boîtes de Jaz, restos, bistros aux minuscules terrasses, pâtisserie et même un petit marché public. Beaucoup de monde et beaucoup d’animation. Nous décidons que notre dernier dîner sera dans ce quartier ou nous mangerons du porc et comme dessert. Ben! Y a toujours un dessert en France, si non le repas n’est pas complet! C’est comme ça et pour moi ce fut une crrrrêpe au chocolat.Enfin nous terminons notre soirée en se promenant doucement dans les rues en cherchant du coin de l’œil Notre-Dame ou la Tour Eiffel. Au revoir mes Dames. Vous aurez su en deux visites faire ma conquête et comme je suis bien conscient que je ne vous reverrez peut-être pas, soyez assuré que vous resterez toujours bien au chaud dans mon cœur. Ce soir, je vivrais une peine d’amour. Je le sais. Chut! Bonne nuit belles Dames ;o)xx
Samedi, dernière journée complète à Paris. La température joue au fou : Nuageux, averses, plein soleil et ça recommence. Nous petit-déjeunons au coin de la rue. Le Reglait, c’est notre boulangerie/Pâtisserie ou le café est délicieux et le personnel chaleureux. Aujourd’hui, direction les Arènes de Lutèce. Il faut être attentif car l’entrée est située entre deux immeubles. Ces vestiges datent de l’époque Gallo-Romaine. Cet amphithéâtre fut construit au premier siècle AV-J.C. L’ironie de la chose, c’est quand pénétrant dans l’arène vous voyez les estrades et les murs, mais enlevant un tant soit peu les yeux vous vous apercevez que vous êtes entouré d’immeubles à logements.En direction du Jardin du Luxembourg, notre deuxième destination, nous décidons par curiosité de tourner à gauche au lieu d’à droite. Nous tombons sur une petite place avec sa fontaine et ses petits bistros tout autour. En plein cœur de Paris il nous semblait être transporté dans un petit village de province. Il est encore trop tôt pour la petite pose café ou petit rosé. Continuons donc notre promenade vers le boulevard Soufflot. Celui-ci débute au Panthéon et descend jusqu’au Jardin du Luxembourg avec au loin et en pleine centre la Tour Eiffel. Les architectes et les urbanistes du temps était de vrais visionnaires. Comme c’est bientôt l’heure du déjeuner, nous décidons de goûter au McDo de Paris. Situé directement en face du Jardin ou nous allons manger sous les arbres, à proximité de cette flore luxuriante. L’endroit n’est pas seulement beau, mais il est aussi silencieux et reposant. En empruntant l’allée centrale accompagné par un orchestre de chambre quelque part sous les arbres, nous arrivons près d’un bassin entouré de centaine de chaises et de bancs, puis au fond, un splendide château ou aujourd’hui, siège le Sénat. En arrivant à la sortie du Jardin, le ciel a voulu nous montrer à quel point il était triste de notre départ et il c’est mis à pleuvoir «comme vache qui pisse». Bien équipé de capuchons et de parapluie nous longeons les immeubles et avançons tout de même. Notre but en ce milieu d ‘après-midi était de prendre notre pose café «Aux deux Magots» sur la place du Québec à Saint-Germain des Près. Sachant qu’il fallait que je descende vers la Seine et le boulevard Saint-Germain. Je n’avais par contre aucune idée à quelle distance nous étions et si nous avions dépassé le croisement. Je me mis à la recherche du Boulevard Saint-Michel qui ne se trouvait pas très loin des deux Magots. La pluie avait diminuée. Sans être inquiet, car je savais ou se trouvait la Seine. J’étais déçu de ne savoir exactement ou nous étions, lorsque ma femme me dit : Regard la bas, les auvents verts. Ça ne serait pas les Deux Magots? La pluie avait cessait, la terrasse était rouverte et le café délicieux.En revenant, nous avons passé par de petites rues de Saint-Germain des Près. Boîtes de Jaz, restos, bistros aux minuscules terrasses, pâtisserie et même un petit marché public. Beaucoup de monde et beaucoup d’animation. Nous décidons que notre dernier dîner sera dans ce quartier ou nous mangerons du porc et comme dessert. Ben! Y a toujours un dessert en France, si non le repas n’est pas complet! C’est comme ça et pour moi ce fut une crrrrêpe au chocolat.Enfin nous terminons notre soirée en se promenant doucement dans les rues en cherchant du coin de l’œil Notre-Dame ou la Tour Eiffel. Au revoir mes Dames. Vous aurez su en deux visites faire ma conquête et comme je suis bien conscient que je ne vous reverrez peut-être pas, soyez assuré que vous resterez toujours bien au chaud dans mon cœur. Ce soir, je vivrais une peine d’amour. Je le sais. Chut! Bonne nuit belles Dames ;o)xx