BLEU BLANC ROUGE
BLEU BLANC ROUGE
Voici juin qui passe, ensoleillé tout bleu,
L’air est chaud, déjà limpide, mes yeux
Fixent sur l’écran de mon ordinateur, la sagesse
De ton visage pur, beau, tendre, la timide innocence
De tes yeux de miel, reflète ta passion retenue, élève ton âme
Te rend si attirante, si complice familière de mon âme…
J’ai cueilli à mon réveil en ce matin frais
Un joli petit bouquet de subtils bleuets
J’ai pu cueillir par miracle, une survivante belle pensée,
Comme si la magie de mes sens, me rendit fébrile, une majestueuse impatience
Vint se mêler à la quête platonique de mon espérance,
O sublime miracle une fleur d’acacia blanche se posa sur mon bouquet…
Prêt du portail, la clématite a survécue aux premières chaleurs
Ainsi qu’un magnifique lilas blanc et mauve ; une primevère grâce à la fraicheur
Des matins encore assez frais, tient tête à l’été qui va venir plus lourd et plus chaud
Le bouquet de fleurs grandit, je cherchai le lys majestueux pour marquer haut
Et fort la pureté de mes sentiments de cœur à ton égard, deux roses blanches pures
Et trois magnifiques roses rouges à la fougue de vivre contre le temps sec et dur…
Puis j’allai droit vers le camélia pour suggérer toute la tendresse de ma constance
Je cueilli le camélia le plus épanoui à la couleur magnifique, rouge, la présence
Discrète d’une azalée et de l’anémone, marquera dans ce bouquet ma joie de t’aimer dans ma persévérance
J’y joints quelques boutons d’or champêtres pour exulter tout ce bonheur et toute ma joie de t’appartenir
En amitié si tu ne souhaites pas entrer en amour avec moi dans un proche avenir,
Je ferme mon magnifique et opulent bouquet, par quelques œillets de poète puis l’entoure de fougère et de lierre…
Enfin, cet autre bouquet de roses rouges, signifie l’immense amour respectueux dont j’honore la jeune femme fière
Que tu représentes à l’homme que je suis, Exotica, même si ce poème rencontre ton dédain et ta colère,
Je désire que tu saches l’immense ouragan d’amour et d’amitié qui es passé sur ma terre
Le jour merveilleux où nos âmes se sont rencontrées sur Facebook comme la foudre avec le tonnerre,
J’ose croire que notre rencontre ne sera pas une page d’histoire éphémère,
Mais la plus belle histoire éternelle pour notre vie, bien au contraire…
Avoir ton regard de miel rempli d’amour trempé dans les larmes de mes yeux bleus d’ange de la terre…
Georges Adrien PARADIS à Limoux le 20 juin 2011 à 09h00