France. Un établissement qui accueille des jeunes âgés de 14 ans à 20 ans souffrant de troubles psychiatriques nécessitant une prise en charge médicale et qui peuvent, parallèlement aux soins, poursuivre des études de niveau collège et lycée.Il y a trois ans, la clinique Jean-Sarrailh s’est dotée d’une unité post-aiguë, nouveau service à vocation régionale, qui connaît aujourd’hui une
fréquentation maximale. « Si durant la première année, cette unité était méconnue, elle a enregistré une progression d’activités grâce à l’équipe
pluridisciplinaire autour du Dr Razafimahefa. Aujourd’hui, les dix lits qui la composent sont occupés », explique Didier Syndique, directeur de la clinique.
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Travaux dès l’automne
Remplissant les missions fixées par l’agrément, la clinique est aussi ouverte aux consultations externes en psychiatrie. L’an passé, 110 consultations ont été faites par les psychiatres mais le projet de construction d’un centre médico-psychologique devrait à court terme permettre aux médecins psychiatres, les docteurs Razafimahefa, Beaudoin et Barataud et du médecin coordonateur Alexandre Arrieu d’assurer un nombre beaucoup plus importants de consultations.
La construction de ce centre médico-psychologique sera incluse dans un bâtiment neuf réalisé à l’entrée de la clinique et qui abritera aussi un nouvel hôpital de jour. « On ajoutera à ces travaux, ceux de réfection des lieux d’hébergement. Ainsi, la clinique Jean Sarrailh disposera de locaux permettant d’accueillir et d’accompagner aux mieux les jeunes », conclut Didier Syndique. Une construction qui peut voir le jour grâce à l’autorisation donnée par la commune d’Aire-sur-l’Adour, propriétaire du site, qui gèlera le loyer durant quinze ans. Les travaux, dont le montant estimatif s’élève à 2 300 000 euros, devraient débuter à l’automne.
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