genre: horreur, comédie horrifique (interdit aux - 12 ans)
année: 1988
durée: 1h20
l'histoire: Trois étudiants pénètrent dans la sorotité de Tre-Delt pour observer le bizutage de nouvelles arrivantes, mais ils sont surpris par les femmes. Les nouvelles sont alors chargées de se rendre au Bowl-O-Rama pour y voler un trophée. Mais elles cassent le trophée et libèrent un démon.
la critique d'Alice In Oliver:
Oh, la belle petite bisserie que voilà ! J'ai nommé Sorority Babes in the slimeball Bowl-O-Rama, réalisé par un certain David DeCoteau en 1988.
C'est un cinéaste connu (en mal) dans le cinéma bis et surtout réputé pour avoir signé quelques abominations du septième art.
Inutile de rappeler les méfaits de ce réalisateur.
Toujours est-il qu'il sévit à nouveau derrière ce petit nanar qui n'a aucune prétention. Sincèrement, Sorority Babes est pour le moins débile.
C'est vraiment (encore une fois) du cinéma bis dans toute sa splendeur et sa décadence. L'histoire fait partie des abonnés absents.
En effet, des étudiantes s'amusent à bizuter quelques nouvelles arrivantes.
Ce qui donne lieu à quelques séquences de dénudage, David DeCoteau ne lésinant pas sur les plans nichons.
Bien évidemment, quelques étudiants lubriques sont intéressés par les jeux érotiques des petites coquines.
Jusque-là, Sorority Babes ne présente qu'un intérêt limité (pour être gentil)... Toutefois, la suite du film est peu plus intéressante.
En effet, le bizutage de nos jeunes demoiselles continue. Les nouvelles arrivées doivent alors ramener un trophée qui se trouve dans une sorte de manoir hanté.
Les étudiantes cassent accidentellement l'objet. Ce qui a pour conséquence de réveiller un démon vert-gluand.
A partir de là, le film devient un peu plus fun. Mais dans l'ensemble, Sorority Babes se révèle assez quelconque.
Les acteurs surjouent au possible. Ensuite, la plupart des gags ne fonctionnent qu'à moitié ou alors pas du tout. C'est selon...
Bref, pas de quoi s'attarder devant cette bisserie qui pourra toutefois séduire les plus irréductibles du genre.
Et encore...
Note: 06.5/20
Note nanardeuse: 12.5/20