Dans un sursaut de lucidité dont il n’a pas souvent le secret, le Parlement a enfin jeté le procureur Beyeler, le spécialiste du soupçon infondé et de l’enquête inutile et coûteuse.
Espérons simplement qu’il trouvera un successeur à la hauteur.
Et que le guignol jeté par la porte ne reviendra pas par la fenêtre, poussé par des amis parlementaires intéressés qui se seraient ressaisis.