parfois on imagine ses joies de vie,sa joie de vivre, soif de survie,comme un épanouissement de soi,oui mais parfois et parfois pas!j'ai vu tes yeux qui brillaient mille lumièresqui étais-tu , masque de fermoi qui suis ma propre prisonje m'imagine; c'est trop conde vivre dans tes yeux mille viesmille lumières de nos vies!toi et moi pour la terre entièreà bousculer , il faut s'y faireles bienséances de ces lieuxdonne moi la main petit bonhommetoi mon enfant bientot un hommeje vais mourir , je te l'ai ditt'as pas compris , t'es trop petitmais ton sourire focalisedes mille et mille milliers de bisesqui scintillent de nos propres viestu le sauras je te le dis!tu le sauras, tu m'as compris!