Mercredi, le soleil semble vouloir nous accompagner. Petit déjeuner prit sur le boulevard Saint-Germain des Près avec en toile de fond Paris qui rentre au boulot. Le trafic roule dans tous les sens, les motos coupent dans tous les sens et les piétons au milieu de tout ça se fient à leur sens. Nous descendons directement à la Seine au pied de Notre-Dame et nous prenons des billets pour deux jours sur le Batobus. Même principe qu’avec les Cars Rouge. Le Batobus vous transport sur huit sites différents. Vous montez et descendez à votre guise au fil de l’eau. Plus relaxant que le Car Rouge, mais avec une vision différente des monuments. Notre premier arrêt est le Jardin des Tuileries. Magnifique parc en continuité avec le Louvre et qui se termine à la place de la Concorde. Lorsque vous êtes en plein milieu du Jardin, vous constaterez la symétrie qu’il existe entre différent monuments de Paris : La Pyramide du Louvre, l’Obélisque de La Concorde, l’Arc de Triomphe et l’Arc de la défense du Paris des affaires. C’est quatre monuments sont parfaitement alignés. Malheureusement une photo ne peut montrer nettement se phénomène voulu par les urbanistes de la ville.En traversant la rue de Rivoli, nous arrivons à l’angle de la rue des Pyramide. Les bâtiments avec à leur rez-de-chaussée des galeries couvertes sont d’une construction fascinante. Vous y trouverez aussi une statue de Jeanne d’Arc sur sa monture après sa victoire sur l’Angleterre et un des hôtels les plus chics de Paris : Le Regina. C’est tout à côté que nous faisons notre réservation pour la visite du Château de Versailles. Pour revenir à la rue de Rivoli, je voudrais seulement signaler, que lors de la révolution française, c’est souvent de cette rue que partaient les manifestations du peuple et c’est aussi sur cette rue que plusieurs opposants à la révolution et plus tard certains instigateurs à cette même révolution sont venus s’y cacher. C’est aussi non loin de là, Place de la Concorde que la guillotine fut installée et c’est là que le roi Louis XVI, Marie-Antoinette et leurs enfants furent guillotiné de même que 2794 autres citoyens.Nous reprenons le Batobus en direction de la Tour Eiffel que nous projetons de gravir en espérant que les ascenseurs fonctionnent. Mais avant, déjeuner sur l’herbe à l’ombre de la Tour, seul au milieu de milliers de personnes. L’attente pour les billets est respectable, une demi-heure. Puis l’ascension commence avec une halte au deuxième étage. Nous sommes déjà subjugués par la hauteur et par la vision de Paris. Ouf! Après quelques photos nous nous dirigeons vers un autre ascenseur pour la montée vers l’ultime 3è étage. L’attente est raisonnable : 1h15 depuis la file pour les billets. Mais l’attente se prolonge. Les gens s’impatientent. Il y des rumeurs. On aurait trouvé un sac à dos abandonné au troisième étage. Les gens de la sécurité nous propose d’attendre ou un remboursement. Nous décidons d’attendre nous sommes à 10 mètres de la porte d’ascenseur. Puis, c’est le choc, la Tour Eiffel doit être évacuée de toute urgence. Pas par les ascenseurs, mais par les… escaliers. Adieu beau rêve. Nous voilà exécutant une descente de 115 mètres. En descendant nous voyons les policiers vider littéralement la place sous la tour ou quelques minutes plus tôt des milliers de personnes se promenaient. En moins de 20 minutes un périmètre de sécurité avait été établi avec un policier à tous les cinq mètres. Le soir aux nouvelles… rien et le lendemain la tour reprenait vie mais…sans nous. Pour nous consoler, nous rentrâmes dans une chocolaterie ou tout se mange et nous avons acheté des macarons. Pour le souper nous avons mangé dans un restaurant français avec vue sur Notre-Dame. Au menu pièce de viande et comme dessert une succulente crème brûlée. Bonne nuit ;o)x
Mercredi, le soleil semble vouloir nous accompagner. Petit déjeuner prit sur le boulevard Saint-Germain des Près avec en toile de fond Paris qui rentre au boulot. Le trafic roule dans tous les sens, les motos coupent dans tous les sens et les piétons au milieu de tout ça se fient à leur sens. Nous descendons directement à la Seine au pied de Notre-Dame et nous prenons des billets pour deux jours sur le Batobus. Même principe qu’avec les Cars Rouge. Le Batobus vous transport sur huit sites différents. Vous montez et descendez à votre guise au fil de l’eau. Plus relaxant que le Car Rouge, mais avec une vision différente des monuments. Notre premier arrêt est le Jardin des Tuileries. Magnifique parc en continuité avec le Louvre et qui se termine à la place de la Concorde. Lorsque vous êtes en plein milieu du Jardin, vous constaterez la symétrie qu’il existe entre différent monuments de Paris : La Pyramide du Louvre, l’Obélisque de La Concorde, l’Arc de Triomphe et l’Arc de la défense du Paris des affaires. C’est quatre monuments sont parfaitement alignés. Malheureusement une photo ne peut montrer nettement se phénomène voulu par les urbanistes de la ville.En traversant la rue de Rivoli, nous arrivons à l’angle de la rue des Pyramide. Les bâtiments avec à leur rez-de-chaussée des galeries couvertes sont d’une construction fascinante. Vous y trouverez aussi une statue de Jeanne d’Arc sur sa monture après sa victoire sur l’Angleterre et un des hôtels les plus chics de Paris : Le Regina. C’est tout à côté que nous faisons notre réservation pour la visite du Château de Versailles. Pour revenir à la rue de Rivoli, je voudrais seulement signaler, que lors de la révolution française, c’est souvent de cette rue que partaient les manifestations du peuple et c’est aussi sur cette rue que plusieurs opposants à la révolution et plus tard certains instigateurs à cette même révolution sont venus s’y cacher. C’est aussi non loin de là, Place de la Concorde que la guillotine fut installée et c’est là que le roi Louis XVI, Marie-Antoinette et leurs enfants furent guillotiné de même que 2794 autres citoyens.Nous reprenons le Batobus en direction de la Tour Eiffel que nous projetons de gravir en espérant que les ascenseurs fonctionnent. Mais avant, déjeuner sur l’herbe à l’ombre de la Tour, seul au milieu de milliers de personnes. L’attente pour les billets est respectable, une demi-heure. Puis l’ascension commence avec une halte au deuxième étage. Nous sommes déjà subjugués par la hauteur et par la vision de Paris. Ouf! Après quelques photos nous nous dirigeons vers un autre ascenseur pour la montée vers l’ultime 3è étage. L’attente est raisonnable : 1h15 depuis la file pour les billets. Mais l’attente se prolonge. Les gens s’impatientent. Il y des rumeurs. On aurait trouvé un sac à dos abandonné au troisième étage. Les gens de la sécurité nous propose d’attendre ou un remboursement. Nous décidons d’attendre nous sommes à 10 mètres de la porte d’ascenseur. Puis, c’est le choc, la Tour Eiffel doit être évacuée de toute urgence. Pas par les ascenseurs, mais par les… escaliers. Adieu beau rêve. Nous voilà exécutant une descente de 115 mètres. En descendant nous voyons les policiers vider littéralement la place sous la tour ou quelques minutes plus tôt des milliers de personnes se promenaient. En moins de 20 minutes un périmètre de sécurité avait été établi avec un policier à tous les cinq mètres. Le soir aux nouvelles… rien et le lendemain la tour reprenait vie mais…sans nous. Pour nous consoler, nous rentrâmes dans une chocolaterie ou tout se mange et nous avons acheté des macarons. Pour le souper nous avons mangé dans un restaurant français avec vue sur Notre-Dame. Au menu pièce de viande et comme dessert une succulente crème brûlée. Bonne nuit ;o)x