Nous avons tellement de choses à voir et à faire que je prends du retard. Aujourd’hui mardi 14 juin, la levée du corps a été un peu plus difficile à cause d’un couché tardif la veille et du décalage horaire. Même les marteaux piqueurs des rénovations d’en face ne sont venue à bout de notre fatigue. Donc premier petit déjeuner en terrasse, malgré le temps maussade. Il nous semble que la mauvaise température du Québec nous suit, elle a surement embarqué en même temps que nous à Dorval.
Après le petit déjeuner le soleil se montre et nous prenons la direction de Notre-Dame de Paris qui est à dix minutes de l’appartement. Il y a beaucoup d’activités dans les rues même si la matinée tire à sa fin. Le site est bondé de monde la file pour entrée à la Cathédrale couvre entièrement le parvis de l’église. Cette fois nous n’entrons pas puisque nous l’avions déjà visité à notre dernier voyage. Je voulais par contre voir l’extrémité de l’île de la cité avec son monument rendant hommage à tous ceux qui furent déportés tout au long des guerres. Mais la réception de la préposée fut à ce point glacial que nous fîmes demi-tour après que ma femme mut enfoncé ses ongles dans le bras afin que je ne réplique pas…
Nous prenons donc l’autobus «Car rouge» à deux étages pour une promenade à travers les rues de Paris. Notre destination l’Arc de triomphe et les Champs Élysées. Comme je vous le disais le temps est gris, mais le soleil tente quelque percé, un peu comme les joueurs du Canadiens sans trop de réussite… Le trafic est monstrueux, des voitures et motos partout. Il me semble qu’ils sortent de terre. Nous nous baladons au grès des gens et des boutiques. Puis, enfin la pause déjeuners. À la table près de nous, des Québécois de Shawinigan. Encore sous le charme. Comme nous, n’ont pas assez de yeux pour tout enregistrer. Donc, nous prenons la direction de l’Arc de Triomphe afin cette fois-ci de monter jusqu’en haut. Il y a beaucoup de monde et à la billetterie ont fait la file. Nous prenons nos billet et oh surprise! L’ascenseur ne fonctionne pas et il faut se taper l’ascension par l’escalier. Disons que 50 mètres de haut à monter dans un escalier étroit ce n’est pas simple et c’est surtout fatiguant. Sauf qu’une fois en haut, à l’extérieur la vue sur les Champs Élysée est magnifique. L’Arc de Triomphe fut commandée par Napoléon en 1806, mais sa construction fut abandonnée et reprise de 1832 à 1836. Depuis 1920 l’Arc abrite le tombeau du soldat inconnu. La descente a été plus rapide et surtout moins fatigante.
Après notre pose terrasse au Trocadero, face à la Tour Eiffel et le Palais de Chaillot nous avons repris le bus direction appartement. Ce soir petit resto italien et comme dessert…pêche Melba. Bonne nuit ;o)x