Parce que le soleil n’arrive plus à se lever depuis un moment et m’entraîne avec lui dans sa paresse, je regarde le ciel avec une envie de chaleur et de lumière franche, blanche et directe.
Au milieu des chants du coq, et du concert presque tapageur des oiseaux, dans le fracas matinal des casseroles, sortant du sommeil au milieu de voix féminines et enjouées, j’avais pris l’habitude d’un face-à-face avec le soleil pour une salutation en bonne et due forme.
Sur le porche de la cuisine, Province de Saigon, 5h du matin, 27°
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