Malgré les énormes progrès réalisés en la matière, le VIH reste une immense problématique pour l’ensemble de la planète et c’est la raison pour laquelle les pouvoirs publics s’efforcent de lutter ardemment. Ainsi en France, un Plan National de Lutte contre le VIH/IST 2010-2014 a été mis en place afin de réunir toutes les forces en présence et essayer de tendre non seulement vers une solution médicale définitive à long terme mais surtout pour accompagner les patients actuels de manière optimale. Au-delà des aspects médical et social, cette maladie est particulièrement onéreuse pour celles et ceux qui en sont malheureusement victimes. Néanmoins, il convient de noter que l’Assurance Maladie et les mutuelles santé font preuve d’un comportement irréprochable à ce sujet puisque les remboursements alloués sont globalement élevés voire intégraux. De plus aussi bien l’Assurance Maladie que les mutuelles santé apportent un soutien réel aux patients confrontés à ce terrible fléau en leur recommandant tout ce qui est possible de faire pour atténuer ou en tout cas limiter leurs souffrances. Par ailleurs, les mutuelles santé réalisent énormément de prévention pour inciter les jeunes à adopter le comportement le plus prudent possible s’agissant des opportunités de contraction de cette maladie.
En outre au surplus de la mise en place de ce remarquable Plan National de Lutte contre le VIH/IST 2010/2014, les pouvoirs publics entendent assurer un suivi optimal et ont donc constitué un Comité de Suivi par le biais de Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé qui a déclaré : « Ce Comité a d’une part une vocation interministérielle, et c’est important pour la cohérence globale des actions, et d’autre part une vocation pluridisciplinaire, en associant les experts, les professionnels, les sociétés savantes et les associations reconnues dans le domaine du VIH et des IST ». Il s’agit d’une initiative qu’il nous appartient de souligner avec la plus grande satisfaction au regard de son caractère volontariste pour démontrer aux patients qu’il convient de se battre collectivement contre cette maladie.