Interrogé par les Cahiers pédagogiques, Philippe Meirieu, vice-président du Conseil régional Rhône Alpes, se déclare « très déçu que les « projets éducatifs » des deux grandes formations politiques françaises se résument à des projets de réforme de l’institution scolaire ». Il propose la constitution d’unités pédagogiques à taille humaine dur la base du volontariat. Il préconise également « de structurer le cursus scolaire en unités capitalisables ».
NDLR : Comprendre que les élèves valideraient des acquis dans différentes matières selon le principe des crédits. Ainsi la validation d’un niveau homogène d’acquis ne serait plus nécessaire.