Quand l'homme s'oublie,
Qu'il s'ignore tant qu'il doute de lui-même,
L'enfer ne s'impose à lui,il le crée,
Que de crimes contre l'humanité,
De tortures inavouables,d'exécutions sommaires,
De violences extrêmes est-il alors capable,
De s'emplir d'une telle somme de regrets,
Que même les pleurs ne viennent le soulager,
Condamné qu'il est à supporter le poids d'une conscience surchargée,
Car le temps sera long avant d'entrevoir l'aube de la rédemption,
D'avoir le courage d'implorer le pardon,
Qui viendra,mais pas avant que son coeur soit lavé de toute insulte à l'amour,
Quand il saura aimer,