Lina, n'est pas apparue comme ça par hasard. Présente depuis le début dans ce qu'on a appelé la révolution des Jasmins, elle a été présente durant les moments les plus difficiles de cette révolution bravant tous les dangers et nous fournissant son témoignage et celui du peuple tunisien à travers ses surprenantes photos et ses articles. Alors que rien n'est terminé, elle continue courageusement à témoigner et participer à cette révolution qui poursuit avec difficulté son avancée. Actuellement présente en France après une invitation à St Malo dans le cadre du Festival Etonnants Voyageurs à Saint-Malo, elle a participé à de nombreuses émission radios et télé. Le 9 juin 2011, elle participait à un tchat avec le journal Ouest France . Voir le lien icielle sera présente mardi matin sur France Inter à 9h10 heures, l'invitée de Pascale avec Mohamed Salem et Shami dans l'émission "Comme on nous parle". et dans la même journée sur Canal plus à 12h20 dans l'édition spéciale.L'express lui a accordé un article mais de nombreux journaux ont fait de même; elle est devenue le personnage clé de cette révolution même si modestement, elle reconnait elle même n'être pas la seule et qu'elle a accompli son devoir de citoyenne tunisienne. Les femmes ont été très actives sur le net lors de cette révolution mais aussi dans les manifestations et malheureusement parmi les victimes.
Voici la liste de ses contributions au site Nawaat ici : et en anglais dans Global voices làSon blog tunisian girl n'a pas besoin d'être présenté. Il est très connu dans le milieu des blogueurs tunisiens et au sein de la blogosphère blogosphère mondiale depuis la révolution des Jasmins. :
Rappelons l'édition d'un livret d'une trentaine de pages " Tunisian Girl "qui sort cette semaine en France (Indigène Editions), en Allemagne et en Espagne. Il doit aussi paraître en Tunisie et une version en arabe est en préparation.Lina Ben Mhenni y raconte comment internet, les blogs, puis Facebook et Twitter, ont contribué à l'émergence d'une véritable information dans un pays où tous les médias étaient contrôlés par le régime en place, en permettant notamment la diffusion de photos et de vidéos des victimes de la répression.Ces réseaux, explique-t-elle, ont grandement facilité la mobilisation des opposants jusqu'au départ, le 14 janvier, de Zine el Abidine Ben Ali après 23 années de pouvoir sans partage.( référence article1, article2