Il y a toujours dans chaque édition de Jazz à Carthage une soirée à part qui nous marque par son sceau indélébile. Ce fut le cas avec Johnny Griffin en 2005, Roy Hargrove en 2006, Abdullah Ibrahim en 2007, William Parker en 2008 et cette année avec Brad Mehldau et Charles Lloyd. Encore deux « strangers in the jazz » réunis pour une soirée intense qui aurait été exceptionnelle, si ce n’est le