Massir Destin m’a invité sur Facebook à participer à la journée du « post civil » التدوينة المدنية avec les internautes tunisiens. Quoi dire après tant de silence… non pas silence de plomb, mais silence vertigineux, celui qui dispersa la clameur folle du 14 janvier… L’émotion encore dans la tête et dans le ventre, qui cloue les mots insomniaques au pilori de l’incertitude… Ça sortira, il le faut,