Patrick MENNUCCI a déclaré
"Marseille est une ville arabe, en même temps qu'une ville méditerranéenne. Si l'on n'est pas capable de se regarder tels que nous sommes, nous reculons, et tous les beaux discours sur l'intégration sont dépassés. Marseille doit assumer pleinement sa part arabe."
C'est GAUDIN qui porte le CHAPEAU
REACTIONS
En vous lisant, on se demande pourquoi caselli, Mennucci et les autres viennent faire la claque a Gaudin sur un projet aussi mal foutu. Ce sont encore les contribuables Marseillais qui vont financer tout ce bordel. Apres la patinoire qui sert a rien et qui est un vrai scandale quand on sait qu elle a coute plus de 50 millions d euros, on a le sentiment que l’extension du stade n est qu un pretexte pour realiser un vaste programme immobilier. Si caselli veut en plus nous faire croire qu il va regler la circulation avec un tunnel a peage et des bus supplementaires, il nous prend vraiment pour des anes. La circulation est de pire en pire, on ne peut plus bouger dans cette ville. Quand je pense qu on a paye une fortune pour faire le nouveau tunnel de la Joliette et que c est 100 fois pire qu avant, on peut etre inquiet avec le tunnel du Prado! J espere au moins que ce ne sont pas les memes entreprises qui font les travaux sinon ils doivent bien rigoler sur notre compte!
11/06/2011 à 17h29 | 1
Dégueulasse...
Marseille capital culturel en 2013, c'est pas gagné, dans AUCUN domaine. Transports en commun a chié, ville toujours sale : crottes, crasha, odeurs, poubelles...
Stade sera fini en 2014, donc encore des travaux, travaux de partout... bref ca sera raté complétement, rien ne va !
Merci la mairie et les Marseillais
http://provence-alpes.france3.fr/info/marseille--les-ciq-denoncent-l-insecurite-69174256.html
__________________________________________
http://www.youtube.com/watch?v=nqFxVJ7aTfA&feature=player_embedded
__________________________________________
http://www.lemeilleurdemarseille.fr/quartiers/4262-%c2%ab-on-nous-doit-la-securite-%c2%bb
___________________________________________
L'Edito de Jean-Laurent Bernard
02 Juin 2011
Un vent mauvais souffle une fois encore sur la classe politique.Sans surprise après les affaires DSK et Tron, d'autres histoires commencent à sortir, notamment celle évoquée par Luc Ferry, ancien ministre de l'éducation nationale, il met en cause, sans le nommer, un ancien ministre qui serait impliqué dans un scandale pédophile lors d'un voyage au Maroc. Et l'homme serait couvert au plus haut niveau de l'Etat. Seul hic, la loi est claire, elle impose de dénoncer clairement des faits criminels. Parce que c'est bien le problème, nous ne cessons à longueur d'année, d'entendre toutes sortes de rumeurs, souvent parfaitement invérifiables, qui mettent en cause des élus. Evidemment celles et ceux qui colportent ce genre d'histoire n'oublient jamais d'accuser les journalistes d'étouffer les scandales et d'être complices de toutes les turpitudes que l'on prête aux uns ou aux autres. Sauf que la présomption d'innocence s'impose et surtout que l'on ne se lance pas dans ce genre d'accusation sans un minimum de preuves. N'étant ni policier, ni procureur et encore moins juge d'instruction, la tâche est tout bonnement impossible sans prendre le risque d'être trainé en diffamation. D'ailleurs quelques élus qui portent des réputations sulfureuses le savent bien. L'obligation de preuve équivaut pour eux à une quasi impunité. N'oublions pas quand même que pour un élu, voir son nom à la rubrique des faits divers revient souvent à la désigner coupable. Et rares sont ceux qui ont survécu à une mise en cause, en doute, en accusation. D'où l'obligation théoriquement absolue pour les journalistes d'être extrêmement prudents. Même si nous savons, voyons, entendons. D'autant que ce milieu entretient un impressionnant réseau de saloperies balancées aux quatre vents. Des rumeurs fausses ou vraies bien entretenues destinées à salir et surtout affaiblir l'adversaire. Avec un risque récurrent qui favorise les extrêmes : entendre que tout le monde est au courant de tel ou tel scandale. Tout le monde ? C'est à dire qui ? Un microcosme dans lequel se retrouve amis et ennemis, gauche et droite, bref un petit monde pas forcément reluisant qui entretient ses petits et grands secrets pour mieux nous exclure.
Bonne journée.
_________________________________________________
L'Edito de Jean-Laurent Bernard
10 Juin 2011
Les insuffisances de la classe politique et des partenaires sociaux ne sont plus à démontrer. Il ne se passe plus de semaine sans que la presse nationale ne souligne à l'envie les dysfonctionnements locaux. Un parti socialiste déchiré et déboussolé par la déstabilisation politique de son patron Jean Noel Guérini de plus en plus harcelé par la rumeur de ses futurs ennuis judiciaires. Ceux de son frère sont avérés et font là encore les beaux jours des pourfendeurs d'un Marseille ingérable et ingéré. Idem pour les syndicats, notamment Force Ouvrière et la CGT omnipotents dans leurs secteurs de prédilection, mairie et port notamment. Pour faire bonne mesure nous allons encore souffrir avec les énièmes tourments de l'OM dont le président Dassier vient d'être débarqué, soulignant une fois de plus, les guerres de tranchées et donc de pouvoir qui n'ont jamais cessé d'agiter le club le plus mythique de France. Fort heureusement, les provençaux ne se réveillent pas en s'inquiétant d'une nouvelle tache sur la belle image d'un Marseille trop lisse pour être crédible. Il faut une sacrée dose de culot pour continuer à dire que Marseille est entouré d'ennemis impitoyables qui veulent l'affaiblir. Bizarrement, on ne trouve pas d'autre exemple dans les grandes villes françaises d'un tel cumuls d'anomalies. Certes la culture locale se construit aussi sur l'auto flagellation matinée d'une rébellion permanente, mais quand même. Les élus et responsables syndicaux ne peuvent plus se comporter comme si le monde n'avait pas changé. Les habitants d'ici ne sont pas moins marseillais ou provençaux que celles et ceux qui ont vocation à développer la Provence. Ces petits règlements de comptes qui paralysent les dossiers, ces comportements qui conduisent aux portes des palais de justice, ces dérives qui autorisent à toutes sortes d'arrangements pourvu que l'on soit copain et dévoué, ces pratiques claniques qui finissent par couper de la réalité une poignée d'ambitieux d'opérettes devenus oublieux de la pauvreté, du mal logement, du chômage et des soucis de vie quotidienne.
On nous jure que Marseille change, c'est vrai, mais ses démons pourraient bien aussi la perdre.
Bonne journée
___________________________________________________
On peut mesurer l'écart de MARSEILLE avec BERLIN , Capitale Européenne
où je viens de passer quelques jours
PROSPERITE , BONNE GESTION , BIEN VIVRE EN SECURITE
petit reportage photos
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
12/6/2011
http://lcm.fr/fr/videos/id-213472-retour-sur-actu
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx