Les amours… Avec l’approche de la Saint Valentin, c’est LE sujet… Entre collègues, entre copines… Impossible d’y échapper, le sujet romantico-porno-glamour est de toutes les conversations.
L’amoureux de Julie est un gros naze qui ne pense qu’au foot et en plus il est nul au lit, celui de Sarah est doué au pieu mais infidèle, le dernier en date de Marie est en réalité homosexuel mais n’ose pas l’avouer à ses parents et Lulu (Elle, pas lui… Pas facile d’avoir 2 amis de sexe opposé avec le même prénom) n’arrive toujours pas à se trouver un amoureux.
Quand j’entends tout ça, je me dis que ma situation n’est pas à plaindre. Ou p’tête que si en fait.
Faisons le point :
J’attire les pleurnichards, les victimes, les crevettes, les hommes mariés, les obsédés, ceux qui n’ont plus eu de copine depuis longtemps et qui veulent vérifier si dans le caleçon ça fonctionne toujours, ceux qui veulent une toile vierge à refaire selon leurs désirs et enfin les quadragénaires qui le vivent mal et qui cherchent un petit bout de fraîcheur.
Et parfois même, j’attire un condensé de tout ça en un seul… Oui, là, je pense à la crevette obsédée qui voulait vérifier s’il était encore capable de s’envoyer en l’air avant de retourner draguer… Et si vous me demandez pourquoi je n’ai pas réagit, et bien je vous répondrais que c’est parce que c’est APRES, qu’il explique qu’en fait, s’il est sortit avec vous, c’est surtout pour savoir s’il savait toujours « le faire aussi bien »… Et bien non…
Ouais non, finalement, ma situation est grave à plaindre…
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