Interview dans Le Monde du 31/05/2011 de Virginie Calmels qui dirige Endemol France, créateur de Loft Story. « - Dix ans après Loft Story, la télé-réalité a-t-elle encore un avenir ? – La télé-réalité ne pourrait pas s’arrêter aujourd’hui. Elle a beaucoup évolué. C’est devenu un mode de narration plus qu’un genre. La télé-réalité a apporté une vraie modernité aux autres genres télévisuels et on la retrouve partout : dans le documentaire avec le docu-réalité ; dans le jeu, qui s’apparente de plus en plus à un feuilleton avec un phénomène d’attachement au personnage, etc. »
Mardi le Dr House exerçait sur TF1 aux horaires habituels. Dans le second épisode, c’est Cuddy (la patronne) qui était en vedette quant au doc comme d’hab’, il utilisait des moyens exécrables pour parvenir à des résultats louables, paradoxe du personnage sur lequel repose tout le concept de la série.
Mercredi, soirée nature et picorage, d’abord sur France3 avec Des racines et des ailes qui nous entraîne sur les bords de la Méditerranée, jardins magnifiques et protection du littoral. Images sublimes gorgées de soleil, de mon canapé me parvenaient des fragrances sucrées et le chant des cigales. Néanmoins j’ai fait un détour sur France5 vers 21h30 pour suivre Silence, ça pousse ! Le
Jeudi soir sur TF1, football avec Pologne/France en match amical. Amical, c’était exactement ça, d’ailleurs nos amis Polonais poussèrent l’amabilité jusqu’à marquer contre leur camp afin de nous laisser gagner le match. L’élégance du pays hôte. Amical on vous dit.
Vendredi sur France2, téléfilm policier, Mystère au Moulin Rouge. Le seul truc mystérieux c’était de comprendre comment on peut écrire des scénarios aussi ineptes et truffés d’autant d’invraisemblances ! Ajoutez Marius Colucci dans le rôle du serial-killer et passé le moment de grosse rigolade, je suis allé me coucher effondré d’accablement.
Dimanche soir, sur France3 je m’embarque pour Venise avec le Commissaire Brunetti. Tout le charme de l’Italie sans l’exubérance parfois épuisante des locaux. Hasard de la distribution, le patron de Brunetti me rappelle vaguement le grand Vittorio de Sica, avec ses cheveux blancs et sa mise élégante. En réalité, à part Venise, rien n’est italien dans cette série allemande ! Reflet parfait du monde actuel.
Ca commence à sentir les vacances, certaines émissions ont déjà plié bagages jusqu’à la rentrée, d’autres décélèrent. Je regarde toujours les mêmes chaînes, je suis toujours les mêmes émissions, et nous avons toujours le même président…