(Agence Science-Presse) – Le changement d’heure est peut-être plus dur à supporter que nous ne le croyons. Des chercheurs de l’Université de Munich en sont convaincus, à présent qu’ils ont démontré que le moment où nous nous endormons et celui où nous nous réveillons —en l’absence de réveille-matin— évoluent de jour en jour, en fonction des heures d’ensoleillement.
Petit problème: notre corps, lui, ne sait rien de l’heure avancée et de l’heure normale: avancer ou reculer d’un seul coup les horloges nous «débalance» donc pendant un temps indéterminé. Le fait de reculer les horloges d’une heure serait plus perturbant que le fait de les avancer, selon ces chercheurs, qui présument toutefois que les gens très efficaces le matin le supportent mieux que les autres…
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