Série B comme on en faisait des centaine dans les années 70 et 80 en Thaïlande, L’Arme de la Justice / เจ้าพ่อภูเขียว (1981) est de ces films qui était baptisé par nombre de critiques de cinéma « nam nao » (eau croupie, source Wikipédia). Laissons ces mauvaises langues et projetons nous dans ce divertissement qui mélange testostérone, gros flingue et grenade. Pour prendre en compte l’ampleur de cette œuvre d’exploitation, je vous livre un résumé du film qui (attention SPOILER !) dévoile tout ou presque.
Palan Phuthai (Sorapong Chatree), un tueur à gages revient à Chayaphum après avoir passé quelques années en prison. Alors qu’il voyage en bus, une violente altercation oppose un contrôleur (Lak Apichat) à plusieurs hommes. Palan intervient et devient par la suite ami avec le contrôleur en question qui promet de le présenter à sa sœur Taew (Jarunee Sooksawad). Arrivé à Chayaphum, Palan voit combien sa ville a changé. Il apprend qu’un conflit avec une agence de placements de personnel censée envoyer des travailleurs thaïlandais à l’étranger, a causé la mort de sa mère et son frère. Il doit alors s’occuper d’un bébé qu’il confie à la femme du chef de la police (Nard Poowanai). Ce dernier sait que Palan est devenu une personne intègre et lui donne une arme à feu pour l’aider à combattre la criminalité. Palan se rend à l’agence qui se révèle être une organisation malhonnête, dépouillant les pauvres et plus faibles de leur argent sans leur apporter de travail. Il règle alors ses comptes. Mais cette agence appartient à un parrain local,
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