Révision Bac Littéraire : fiche N°12 : CAMUS

Publié le 12 juin 2011 par Aurore @aurore

Fiche n° 12

Albert CAMUS

1913- 1960

Genre : romancier, dramaturge, essayiste, philosophe

PRIX NOBEL DE LA LITTERATURE EN 1957

Engagé dans la Résistance et dans les combats moraux de l’après- guerre

L’ensemble de ses œuvres dégagent un humanisme fondé sur la prise de conscience de l’Absurdité de la condition Humaine

De père décédé en 1914 et d’une mère sourde, vivant pauvrement en Algérie et ne sachant ni lire et écrire, l’auteur, avec sa soif de connaissances a su sa faire remarquer par son instituteur Louis Germain qui l’aidera à obtenir une bourse et qui prendra une place importante dans sa vie, car c’est à lui qu’il dédiera son discours lors de la remise du prix Nobel de Littérature. Influencé par Nietzche, il fut tout d’abord communiste pour s’en retirer. Il devint le rédacteur en chef du journal « L’Algérien Républicain », journal qui sera interdit. Dans « misère de la Kabylie », il défend le mot musulman et aussi le mot « pied - noir ».

* 1935 - Publication de L’envers et l’endroit.

Il quitte Alger ave sa deuxième femme et s’installa à Paris.

Cependant il dira que sa vie modeste fut sa vraie école. De santé fragile il refusa d’enseigner et fut écarter de l’armée. Durant la guerre il rejoint la résistance pour des missions clandestines.

*1940 Il travailla pour Paris soir et fonde la revue Rivage

* 1942 ouvrages : l’étranger publié par Gallimard et l’essai : le mythe ou Sisyphe (description de ses pensées philosophiques)

* 1945 Il est le seul a publié sur la bombe atomique d’Hiroshima dans le journal « combat »

* 1945 la Peste (les hommes sont confrontés au symbole d’un mal insurmontable)

* 1949 les justes (terrorisme russes mis en scène)

* l’home révolté

*1956 la chute (confession d’un avocat sur sa mauvaise conscience et sa culpabilité)

* 1957 l’exil et le royaume (les doutes et les certitudes)

Camus voulait pratiquer tous les genres littéraires, exprimer ses doutes et ses idées.

« L’homme n’existe donc que par sa révolte qui peut prendre mille formes : philosophiques...historiques... poétiques...Mais entre l’esclavage consenti et la violence révolutionnaire.

La création est la vraie liberté, le plus humble et le plus fier effort humain. »