Le bonheur et les totalitaires.

Publié le 12 juin 2011 par Orlandoderudder

L'idélologie du bonheur propose les dénégations habituelles. Elle se parfume de l'ailleurs oriental rêvé par dénigrement d'ici. Elle est moche. On propose un indice du bonheur géénral à l'image du PNB. Parce que les petits nantis méprisent leur propre fric. Se méprisent et, donc, nuisent à tous: ils représentent le malheur général brut. Ils sont dénigrants, maussades, enemis de la moidernité tout en jouissant d'un bien-être qui leur permettrait d'être heureux s'ils étaient moins cossards et débiles affectifs au point de mépriser leur bien-être!

Et c'est dans les pays mystiques, totalitaires, où les femmes sont méprisées, exoloitées, bannies, oiu de sinistres curés règnent, dominent et exploient les paysans, comme les petits pays hymalatiens que ça se déclare le mieux, là oou me "prêtre", le moine est aussi le bourgeois, le patron.Là où ne règnent enfin plus les mutlations judiciaires...Tibet (qui hélas subi une occupation "aussi pire" que l'ancien régme des lamas, d e Thutpen Gyatso, qui aimait tant Hutler!) boutang, lieux qui fascinent la petite bourgeoisie occidentale qui y trouve un reflet de ses apirations. De ses fascinations.

Le bonheur..valeur fluide mais bien solide que l'onveut finalemet étatiser par un indice de bonheur brut. Normaliser. Et en prenant pour exemple le Boutang... Alors que les conditions du bonheur sont ici: peu de misère, un chômage qui n'a rien à voir avec ce qu'il y avait auparavant, des horaires de travail supportables pour la plupart, dutemps pour penser, é&lever son esprit, se cultiver et une protection socsiale superbe. IL ne rese plus qu'à être soi-même et  arrêter de geindre. En sombrant dans le vieux rêve orientailste finalement complice  des régimes que tant de gens, là-bas, combattent sans notre soutien. Et avec l'approbation de facto des mystico-cucul de la bourgeoisie.

Si le bonheur ne peut pas être mesuré, on peut le constater: il est liberté et refus de croire, tranquillité fevente et dédain du mystique.Un mystique, un grans mystique est un bourgeois ou un aroitso<="" que="" qui="" certes,="" emedicis)et="" servcice,="" simples="" même="" a="" d="" travailleurs="" cas="" classe="" orlando="" p="" les="" comm="" ou="">

Le mysticisme, la croyance, c'et de la banque mentale, dumarchadge de l'espriut, du négoce dans l'âme.Et c'est le même mécanisme que le fric.autant assumer ce dernier quinne fait de mal qu'à cause des mystiques du Capital ou dun"bon" Dieu qui s eressemblent tant! Le Pape n'est qu'un banquier!  IL devient conraitn de penser au bonheur terrestre, de se trahir, sous la pression du public. Ainsi participera t-il au marché du bonheur et sera complice de ceux qui veuletn en fair un indice, une valeur: la pensée par valeurs revient au galop! Droite!

Le bonheur, c'est ici et maintenent, si on veut et si la situation économique n'est pas trop lourde. C'est un mouvement, donc un équilibre. Il fuit dès qu'on le cherche ailleurs. Ilpeut même exister au-dessous du malheur, quand on n'a pas l'esprit hypercritique salace des petits nantos honteux! Le bonheur ça peut être une jolie voiture, un bon steack, le regard de la voisine.Ce n'est jamais  ce qui s'oppose à l'abondance, l'opulence, le plaisir d'être soi. le sourire béat des mystiques, des moines, leur look "sérénité à tout prix" le démontre amplement! Ya qu'à regarder l'effort contant du Dalaï lama pour avoit l'air...de quoi, au juste? Le pauvre ne jeûne pas: il a faim. Seul celui qui mange à sa faim peut jeûner: luxe! Réel mépris des pauvres!  Confort moral, complaisance et autosatisfaction!  Mais c'est assez rigolo! 

Soyons fiers et mangeons trop! Consommer rend meilleur!