Retour aux valeurs du VIIe siècle avec l’islam.Une femme politique koweitienne, ancienne candidate aux élections législatives recommande la légalisation des esclaves sexuelles féminines pour les hommes musulmans afin, dit-elle, de prévenir l’adultère ou le péché.Salwa Al-Mutairi, dans une vidéo diffusée sur internet, dit qu’elle a été informée par certains responsables religieux, qu’il serait préférable, du point de vue islamique, que les riches musulmans achètent des femmes à des fins sexuelles, par le biais d’une agence d’esclaves, s’ils craignent d’être séduits ou tentés par un comportement immoral à cause de la beauté de leurs servantes, ou même à cause des «sorts» que leurs employés leur auraient jeté.
“Nous voulons que nos jeunes soient protégés contre l’adultère”, a déclaré Al-Mutairi, suggérant que ces filles pourraient être importées de pays dévastés par la guerre, comme la Tchétchénie, puis confiées ensuite à de pieux marchands chargés de les vendre.“Il n’y a pas de honte à ça et ce n’est pas haram (interdit) en vertu de la charia (loi islamique), ” dit Mutairi s’appuyant sur le récit de la vie du Calife Haroun Al-Rachid (766-809) qui été marié mais possédait quelque 200 esclaves concubines.Madame Mutairi préconise l’ouverture d’agences pour le commerce des esclaves sexuelles qui fonctionneraient sur le modèle des agences de recrutement qui fournissent des employées de maison.Par MelbaVideo: